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Germanophile

  • Nom singulier invariant en genre
  • Adjectif singulier invariant en genre

Définition

Employé comme adjectif

  1. qui aime les Allemands

Employé comme nom

  1. celui qui aime les Allemands

"germanophile" dans l'encyclopédie

  • BECK JÓZEF (1894-1944)

    • Écrit par Jean BÉRENGER
    • 1 252 mots
    • 1 média

    Beck se retourne alors vers la Grande-Bretagne et la France, mais sa politique germanophile a contribué aux premiers succès de Hitler, dont les conséquences seront finalement tragiques pour son propre pays.

  • ABETZ OTTO (1903-1958)

    • Écrit par Jean BÉRENGER
    • 1 820 mots

    Son moyen d'action favori est l'appui qu'il trouve auprès du clan germanophile de Vichy et en particulier les bonnes relations qu'il entretient avec l'amiral Darlan et avec Pierre Laval, vice-président du Conseil et partisan résolu de la collaboration avec l'Allemagne. Le renvoi de Laval par Pétain, en décembre 1940, est un coup rude pour Otto Abetz, qui met tout en œuvre pour que le Maréchal le rappelle.

  • ENVER PACHA (1881-1922)

    • Écrit par Robert MANTRAN
    • 2 424 mots

    Il donne à la politique ottomane une orientation nettement germanophile, qui conduit la Turquie à entrer en guerre en octobre 1914 aux côtés des Empires centraux. Ministre de la guerre et chef d'état-major général, Enver Pacha réorganise l'armée ottomane et s'entoure d'officiers supérieurs allemands. Si sa politique militaire lui vaut des succès à l'Ouest (Dardanelles), il n'en est pas de même sur les autres fronts.

  • KARAGEORGEVIĆ ou KARAGJORGJEVIĆ LES

    • Écrit par Jean BÉRENGER
    • 3 314 mots
    • 1 média

    Son fils, Pierre II, né en 1923, lui succède sous l'autorité d'un neveu de Pierre Ier, le régent Paul ; proclamé roi, en avril 1941, pour faire échec au parti germanophile, Pierre II ne peut empêcher l'effondrement de son armée et quitte la Yougoslavie. Après la proclamation de la République en 1945, le maréchal Tito lui interdit le retour en Yougoslavie.

  • ANDRÁSSY GYULA comte (1823-1890)

    • Écrit par Jean BÉRENGER
    • 4 484 mots

    C'est là le secret de sa réussite : combattant de 1848, condamné à mort par un conseil de guerre autrichien en 1851, il a la confiance des patriotes, mais, modéré et germanophile, il souhaite en même temps collaborer avec la maison d'Autriche et la nation allemande. Gracié, il rentre en Hongrie en 1858, mais n'est pas satisfait des premières concessions accordées par l'Autriche, le traité d'octobre 1860 ne reconnaissant ni la situation particulière de la Hongrie dans la monarchie danubienne ni les lois constitutionnelles hongroises.

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