Gestationnel

"gestationnel" dans l'encyclopédie

• NAISSANCE Prématurité

  • Écrit par Jean-Pierre RELIER
  • 20 669 mots
  • 1 média

  Ce n'est vraiment qu'à partir de 35 semaines d'âge gestationnel que ces organes ont acquis les caractéristiques anatomiques, enzymatiques et biochimiques comparables à celles du nouveau-né à terme, ce qui les met ainsi à l'abri des complications propres au prématuré.On peut donc dire que si la définition officielle de la prématurité est la naissance entre 25 et 37 semaines d'âge gestationnel, c'est surtout la catégorie d'enfants nés avant 35 semaines qui subira le plus haut risque à la naissance et pendant les 4 ou 5 premiers jours de la vie.

• LATÉRALISATION MANUELLE

  • Écrit par Jacqueline FAGARD
  • 8 832 mots

  C’est précisément à dix semaines d’âge gestationnel qu’une asymétrie dans l’expression de certains gènes dans les zones de la moelle épinière innervant les bras et les mains a été observée. On sait que l’asymétrie posturale favorisant l’orientation de la tête vers la droite s’observe dès le deuxième trimestre de la gestation. On peut faire l’hypothèse qu’au cours de son « babillage moteur », le fœtus a plus de chance de rencontrer sa bouche avec sa main droite qu’avec sa main gauche.

• DIABÈTE

  • Écrit par Éric RENARD
  • 45 122 mots
  • 5 médias

  En cas de facteur de risque (âge supérieur ou égal à trente-cinq ans, indice de masse corporelle supérieur ou égal à 25 kg/m2, antécédent de diabète gestationnel, antécédents familiaux de diabète), le dépistage doit être avancé à la douzième semaine de grossesse par un dosage de la glycémie à jeun, et le diagnostic de diabète gestationnel est porté si celle-ci égale ou dépasse 92 mg/dl.

• BRONCHIOLITE

  • Écrit par Corinne TUTIN
  • 12 219 mots
  • 1 média

  Une récente étude randomisée menée contre placebo chez 1 490 nourrissons en bonne santé, nés à terme ou peu prématurés (âge gestationnel d’au moins trente-cinq semaines), a mis en évidence des effets favorables – avec une réduction significative statistique de 74,5 % en comparaison du groupe placebo, 150 jours après une injection intramusculaire unique de l’anticorps.