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Gesticulation

  • Nom féminin singulier

Définition

  1. fait de gesticuler, de faire beaucoup de gestes

"gesticulation" dans l'encyclopédie

  • MAINI GIOVANNI BATTISTA (1690-1752)

    • Écrit par Georges BRUNEL
    • 1 742 mots

    Nulle gesticulation, mais une espèce de simplicité aimable. On voit ici Maini prendre sa place parmi les artistes qui, dans l'ère baroque finissante, perpétuent la tradition de classicisme tempéré à laquelle Carlo Maratta a redonné vigueur.

  • LE BARGY CHARLES GUSTAVE AUGUSTE (1858-1936)

    • Écrit par Victor BACHY
    • 1 933 mots

    Les résultats furent décevants : l'emphase, la gesticulation, la théâtralité des interprètes, la succession des tableaux sans embryon de montage, les décors peints et plats n'apportaient rien de neuf, mais ils eurent le mérite d'attirer au cinéma des auteurs, des acteurs et une clientèle qui l'avaient boudé jusque-là. Mais, du point de vue de l'art cinématographique, c'était un recul.

  • PACHER MICHAEL (1435 env.-1498)

    • Écrit par Victor BEYER
    • 2 069 mots
    • 1 média

    Si les corps, amplement drapés, risquent de s'effacer derrière une certaine gesticulation plastique, les visages ont une expression aiguë, des mimiques spontanées. Rapidement, au cours des années quatre-vingts, Michael Pacher atteint son plein épanouissement dans l'art du retable considéré comme ensemble structuré, à l'intérieur duquel il donne libre cours à un sentiment vivace et parfois pathétique.

  • BROKOFF FERDINAND MAXIMILIEN (1688-1731)

    • Écrit par Georges BRUNEL
    • 2 278 mots

    1720), par exemple la Madeleine ou le Saint Marc, appartiennent à la même veine : œuvres à la fois monumentales et simples, où la gesticulation théâtrale inspirée des lointains exemples romains devient comme le moyen naturel par lequel s'exprime une piété naïve.

  • LINDER GABRIEL LEVIELLE dit MAX (1883-1925)

    • Écrit par Claude BEYLIE
    • 2 447 mots

    Substituer à la gesticulation théâtrale et aux grosses ficelles de ses contemporains un jeu simple, mesuré, presque réaliste. Réconcilier le cirque et le vaudeville, la grosse farce et la comédie légère. Surtout, imposer un type comique absolument original, ne devant rien ou presque à d'autres arts que le cinéma : lui-même, élégant, racé, noceur, arriviste, bref le bourgeois français, à haut-de-forme et col cassé, de la Belle Époque.

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