Giroflier
- Nom masculin singulier
Définition
- en botanique, arbre de la famille des myrtacées, dont les boutons constituent les clous de girofle
"giroflier" dans l'encyclopédie
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ATJEH ou ACÉH, province
- Écrit par Jean PIWNIK
- 2 001 mots
- 1 média
Mais ils cultivent aussi le cocotier, le giroflier et le muscadier. Le ladang (culture temporaire semi-nomade) est à peu près inconnu, mais la présence de savanes à alang-alang (Imperata cylindrica) sur les pentes témoigne de défrichements antérieurs à l'arrivée des actuels Acehnais. La capitale, Banda Atjeh (anciennement Kutaradja), est un port situé à l'extrémité nord-ouest de la province.
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SWAHILI
- Écrit par Jean-Claude PENRAD
- 9 581 mots
- 1 média
Il y encouragea la culture du giroflier et développa le commerce à longue distance à l'intérieur du continent. En 1840, une colonie arabo-swahili s'établit sur la rive est du lac Tanganyika, après la fondation du relais de Tabora. Au royaume du Buganda, en 1844, une caravane est mentionnée pour la première fois. Le négociant arabo-swahili Hamed Ben Mohammed el-Murjebi, connu sous le nom de Tippu Tip, franchit le lac, à partir d'Ujiji, et fonde, dans l'est de l’actuelle République démocratique du Congo, une principauté qu'il dirigera de 1870 à 1884, quand les Belges y entreprendront leur conquête.
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MYRTALES
- Écrit par Georges MANGENOT
- 14 617 mots
- 6 médias
aromaticum, originaire des Moluques et maintenant cultivé dans d'autres régions tropicales, est le giroflier, dont l'essence est recherchée ; les jeunes boutons floraux séchés sont une importante épice (« clous de girofle »). Le genre Melaleuca comprend aussi plus de cent espèces spontanées dans les îles du Pacifique ; M. viridiflora, de Nouvelle-Calédonie, produit l'essence de niaouli qui, purifiée par des procédés spéciaux, constitue le goménol (marque déposée).
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ASIE DU SUD-EST (art et archéologie) La formation des États indianisés
- Écrit par Janice STARGARDT
- 25 829 mots
- 2 médias
Sans doute, une bonne partie du commerce portait sur des produits forestiers et animaliers, des tissus, des bois parfumés (surtout des résines et des bois précieux comme le benjoin, le camphrier, le giroflier, le cinnamome) ainsi que de l'écaille, des plumes rares, des nids d'oiseaux comestibles – en bref, des matières organiques dont il n'y a plus trace aujourd'hui.
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COMORES
- Écrit par Marie-Françoise ROMBI et Encyclopædia Universalis
- 27 159 mots
- 4 médias
Les plantations (cocotier, giroflier, vanillier, ylang-ylang, etc.) occupant les meilleures terres de la zone côtière, l'agriculture vivrière s'accroche aux versants montagneux en gagnant sur les forêts (qui assurent de moins en moins leur rôle de régulation hydrique). L'élevage est très limité et ne produit pas plus de 1 000 tonnes de viande par an.