Glorieux

"glorieux" dans l'encyclopédie

• LES TRENTE GLORIEUSES, Jean Fourastié Fiche de lecture

  • Écrit par Francis DEMIER
  • 6 756 mots

  Cet ouvrage de Jean Fourastié (1907-1990), professeur au Conservatoire national des arts et métiers, membre de l'Institut, démographe, est resté célèbre pour avoir mis en évidence une expansion continue exceptionnelle des pays industrialisés après la Seconde Guerre mondiale. Cette expansion s'est caractérisée par des taux d'accroissement de 4 à 5 p.

• RÉVOLUTION ANGLAISE SECONDE, dite GLORIEUSE RÉVOLUTION (1688)

  • Écrit par Roland MARX
  • 5 339 mots

  Le débarquement de Guillaume d'Orange à Torbay, le 5 novembre 1688, donne le signal d'une révolution aussi remarquable par sa brièveté que par sa portée : le 22 décembre, le roi Jacques II s'enfuit en France, où Louis XIV lui ménage une généreuse hospitalité au château de Saint-Germain. Réuni à partir du 22 janvier 1689, un Parlement Convention règle en moins de cinq mois les principaux problèmes constitutionnels et religieux.

• NABUCHODONOSOR II, en bref

  • Écrit par Jean-Claude MARGUERON
  • 984 mots
  • 1 média

  Son règne fut glorieux, mais peu belliqueux. Il dut pourtant, à ses débuts, intervenir presque annuellement en Syrie et Palestine. Ayant pris Jérusalem à deux repises d'abord en — 597, puis en — 587 à la suite d'une révolte, il devint dans les textes bibliques le symbole de la domination militaire d'une superpuissance contre l'indépendance d'un petit peuple, qui paya d'un exil sévère sa volonté de résistance à l'oppression.

• CASAL JULIÁN DEL (1863-1893)

  • Écrit par Bernard SESÉ
  • 809 mots

  Cette même année il fait la connaissance de Rubén Darío, de passage à Cuba ; celui-ci l'appela plus tard « mon pauvre et glorieux frère ». Bustes et rimes (Bustos y rimas, 1893) s'écarte du romantisme exubérant au profit d'un lyrisme plus intimiste et plus dépouillé. Casal est considéré comme l'un des précurseurs du modernisme en Amérique latine.

• BYKOV VASSIL (1924-2003)

  • Écrit par Encyclopædia Universalis
  • 871 mots

  Ses premiers romans relatent son expérience de la Seconde Guerre mondiale dont il n'hésite pas à décrire les aspects les moins glorieux : Les morts ne souffrent pas (1966), Sotnikov (1970), La Meule des loups (1974), Le Signe du malheur (1983). Ces récits sans complaisance font de lui un représentant de la « littérature du dégel », qui naît après l'ère stalinienne.