Godelureaux

"godelureaux" dans l'encyclopédie

• AUDRAN STÉPHANE (1932-2018)

  • Écrit par Alain GAREL
  • 3 494 mots
  • 1 média

  À partir des années 1970, Stéphane Audran tourne sous la direction d’autres cinéastes, souvent pour tenir un rôle de bourgeoise, froide et sophistiquée, bien qu’elle ait démontré sa capacité à incarner des personnages autres : hôtelière peu amène (Le Signe du lion), petite vendeuse (Les Bonnes Femmes, de Claude Chabrol, 1960), danseuse « exotique » (Les Godelureaux, de Claude Chabrol, 1961), non sans humour parfois.

• LAFONT BERNADETTE (1938-2013)

  • Écrit par Alain GAREL
  • 3 584 mots
  • 1 média

  Ainsi, elle tourne sous la direction de Jacques Doniol-Valcroze dans L'Eau à la bouche (1960), de Claude de Givray dans Une grosse tête (1961) et dans Tire au flanc 62 (1962) et, surtout, de Claude Chabrol dans À double tour (1959), Les Bonnes femmes (1960) et Les Godelureaux (1961), ou en compagnie d'autres comédiens qui sont attachés à cette mouvance, tels Jean-Claude Brialy, Claude Rich et Jean-Paul Belmondo, dans La Chasse à l'homme d'Édouard Molinaro (1964).

• BRIALY JEAN-CLAUDE (1933-2007)

  • Écrit par René PRÉDAL
  • 5 660 mots

   Chabrol : Le Beau Serge, 1958 ; Les Godelureaux, 1960 ; P. Kast : Le Bel Âge, 1959 ; J.-L. Godard : Une femme est une femme, 1961 ; A. Astruc : L'Éducation sentimentale, 1961 ; F. Truffaut : La mariée était en noir, 1967 ; J. Aurel : Lamiel, 1967 ; É. Rohmer : Le Genou de Claire, 1970...) ou comme simple silhouette chez d'autres (L. Malle, A. Varda, J.

• CHABROL CLAUDE (1930-2010)

  • Écrit par Joël MAGNY
  • 19 348 mots
  • 1 média

  C'est le cas de certains des premiers films centrés sur le physique inquiétant de l'acteur André Jocelyn, comme À double tour ou Ophélia, ou du baroque Godelureaux, plus tard du Scandale, de Docteur Popaul, de Nada ou de Folies bourgeoises. Lorsque les personnages persistent dans leur illusion, ils virent au tragique, tels les grands criminels Landru, Violette Nozière ou le Labbé des Fantômes du chapelier.