Gong
- Nom masculin singulier
Définition
- en musique, instrument de musique à percussion constitué d'un disque métallique sur lequel on frappe
"gong" dans l'encyclopédie
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GONG
- Écrit par Pierre-Paul LACAS
- 2 242 mots
- 2 médias
Le gong ne doit pas être confondu avec le tam-tam de bois — Holztomtom pour les Allemands — qui est un tambour de bois africain.
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QIGONG ou CHI GONG
- Écrit par Catherine DESPEUX
- 2 339 mots
Qigong (souvent transcrit chi gong ou chi kong en français) signifie à la fois « méthode et efficience du souffle », qi signifiant le souffle en chinois. Ce terme regroupe des techniques traditionnelles de gymnastique, de respiration, de méditation, de visualisation, de transe, de guérison charismatique et de combat. Celles-ci proviennent de contextes taoïstes, bouddhiques, néoconfucéens, savants ou populaires.
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FALUN GONG, mouvement religieux
- Écrit par David OWNBY
- 4 368 mots
Sur la base de cet enseignement, le Falun Gong attire rapidement des adeptes, jusqu'à soixante millions selon les estimations du Parti communiste chinois. Le conflit entre l'État chinois et le Falun Gong résulte de la prise de conscience, par les autorités, du caractère incontrôlable de la « fièvre du qigong ». Dans les années 1990, les autorités tentent d'abord de communiquer leur réticence face au mouvement par des messages indirects, mais le Falun Gong refuse de jouer le jeu et organise des manifestations pacifiques à chaque fois qu'il se retrouve l'objet de critiques dans les médias, ce qui est le cas pas moins de 300 fois entre 1996 et 1999.
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GONG XIAN [KONG HIEN] (av. 1599-1689) ET KUNCAN [K'OUEN-TS'AN] (1612-av. 1680)
- Écrit par Pierre RYCKMANS
- 12 704 mots
Pour Gong Xian, le fondement de l'art réside dans la nature ; avec la nature pour guide, le peintre doit développer une création autonome, affranchie des stéréotypes et des écoles. On retrouve ces mêmes idées chez les autres grands contemporains de Gong Xian, les individualistes du xviie siècle, chez Shitao en particulier qui les exprimera avec le plus d'éloquence.
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MUSICALES (TRADITIONS) Musiques de l'Asie du Sud-Est
- Écrit par TRAN VAN KHÊ
- 26 674 mots
- 5 médias
À la fin de chaque partie de la pièce, on frappe le plus grand gong suspendu verticalement, appelé gong ageng ou gong gedé ; ce coup équivaut à un point, et même à un point à la ligne. Chaque partie ou chaque longue phrase est subdivisée en courtes phrases à la fin desquelles on fait sonner le kenong, le grand gong posé sur cadre carré en bois ; un coup de kenong équivaut à un point-virgule.