Goyave

"goyave" dans l'encyclopédie

• GRENADE

  • Écrit par Eric V. B. BRITTER et Encyclopædia Universalis
  • 9 308 mots
  • 3 médias

  D'autres fruits tropicaux sont cultivés (mangue, fruit de la passion, goyave, tamarin, agrumes) et l'État encourage la production d'aliments de base (pois, tomate, patate douce, citrouille, maïs). Le pays exploite le bois de ses forêts de tecks et d'acajous, et modernise le secteur de la pêche. Les industries de transformation (textile, raffinerie de sucre, brasserie, distillerie de rhum, conserverie, fabrication de cigarettes, de savon, égrenage du coton, transformation du coprah) se développent et sont pourvoyeuses d'emplois.

• LEZAMA LIMA JOSÉ (1910-1976)

  • Écrit par Claude FELL
  • 10 300 mots

  Qu'il aime la grenade qu'il n'a jamais goûtée et qu'il aime la goyave qu'il goûte tous les jours. Qu'il s'approche des choses par appétit et qu'il s'en éloigne par répugnance. » Les essais de José Lezama Lima – dont un des plus célèbres est L'Expression américaine (1957), qui propose une réflexion sur l'identité américaine nourrie par une exégèse de l'esthétique baroque – ne sont souvent qu'une glose de cette définition.

• MYRTALES

  • Écrit par Georges MANGENOT
  • 14 617 mots
  • 6 médias

  Les fruits d'autres Myrtacées sont succulents : la goyave est le fruit du goyavier (Psidium guayava), d'Amérique tropicale, aujourd'hui acclimaté dans toutes les régions chaudes du monde. Les fruits d'Eugenia uniflora (« cerisier-de-Cayenne ») et de divers Syzygium (« pomme-rose », « pomme d'eau », etc.), n'ont qu'un intérêt mineur. Enfin, à la famille des Myrtacées appartient le genre Eucalyptus comprenant plus de six cents espèces arborescentes ou arbustives endémiques d'Australie et de Tasmanie ; elles marquent tous les paysages de cette région, car à chaque milieu naturel sont adaptées au moins quelques espèces.

• ÉTATS-UNIS D'AMÉRIQUE (Arts et culture) La littérature

  • Écrit par Marc CHÉNETIER, Rachel ERTEL, Yves-Charles GRANDJEAT, Jean-Pierre MARTIN, Bernard POLI, Pierre-Yves PÉTILLON, Claudine RAYNAUD et Jacques ROUBAUD
  • 220 641 mots
  • 25 médias

  Le goût qu'ont les lecteurs européens pour la littérature des États-Unis n'est pas une mode passagère. On a pu croire que les troupes de la Libération avaient apporté Hemingway dans leurs bagages et que l'âge du roman américain ne durerait pas. Mais, des décennies plus tard, les œuvres « traduites de l'américain » occupent plus que jamais la devanture des librairies.