Gracieusé
- Adjectif masculin singulier
Définition
- rendu gracieux
"gracieusé" dans l'encyclopédie
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AMPHION
- Écrit par Robert DAVREU
- 1 528 mots
Par cette alliance de force pure et de noblesse, de courage et de douceur, de dureté au labeur et de facilité gracieuse, les deux frères purent venger leur mère de l'esclavage et des mauvais traitements auxquels l'avait réduite son oncle Lycos, qui régnait alors sur Thèbes, et succéder à ce dernier sur le trône de la cité dont Crion avait fondé l'agora.
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PARTICIPATION, théologie
- Écrit par Henry DUMÉRY
- 1 822 mots
C'est pourquoi les théologiens parlent d'une participation fondamentale, qui n'est autre que le lien de dépendance du créé par rapport au Créateur, et d'une participation gracieuse qui suppose que Dieu se donne librement à ses créatures spirituelles. Sur le plan logique et philosophique, cette conception théologique fait difficulté. Les logiciens ne connaissent que des relations qui jouent réciproquement entre les termes ; or, la relation de participation est non réciproque : elle relie l'homme à Dieu, mais l'absolu, le non-relatif ne peut être référé à l'homme.
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MAÂT
- Écrit par Yvan KOENIG et Encyclopædia Universalis
- 1 827 mots
- 1 média
Gracieuse déesse égyptienne, représentée anthropomorphe généralement assise et coiffée d'une plume d'autruche qui écrit le hiéroglyphe de son nom, Maât est parfois représentée agenouillée, ailée et coiffée du disque solaire. Les premières mentions de cette déesse sont attestées dans les Textes des pyramides sous l’Ancien Empire. Maât symbolise l'ordre, la justice et la vérité : l'ordre immuable du monde auquel tous doivent se conformer, l'ordre qui est « l'expression idéologique normale des sociétés asiatiques » (J.
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AULNOY MARIE CATHERINE LE JUMEL DE BARNEVILLE baronne d' (1650-1705)
- Écrit par Marc SORIANO
- 2 143 mots
Entre 1696 et 1699, elle publia huit volumes de contes de fées (Contes de fées, Nouveaux Contes de fées ou Les Fées à la mode) qui contiennent des récits justement célèbres : « Gracieuse et Percinet », « L'Oiseau bleu », « La Belle aux cheveux d'or », « Le Prince lutin » « L'Oranger et l'Abeille », « Le Rameau d'or ». Ce sont des contes mondains, salonniers, souvent précieux.
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DELIBES LÉO (1836-1891)
- Écrit par Encyclopædia Universalis
- 2 030 mots
Sa musique, légère, gracieuse, élégante et parfois teintée d’exotisme, reflète bien l’esprit du second Empire. Clément Philibert Léo Delibes naît le 21 février 1836, à Saint-Germain-du-Val (La Flèche), dans la Sarthe. Il étudie au Conservatoire de Paris auprès d’Adolphe Adam, compositeur d’opéras-comiques et de ballets. Recruté au Théâtre-Lyrique comme pianiste accompagnateur en 1853, il occupe le poste de deuxième chef de chœur à l’Opéra de Paris à partir de 1864.