Grand-officier
- Nom masculin singulier
Définition
- dignitaire d'un ordre de chevalerie
"grand-officier" dans l'encyclopédie
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PÂRIS DE BOLLARDIÈRE JACQUES (1907-1986)
- Écrit par Jean PLANCHAIS
- 4 202 mots
Que l'officier le plus décoré de la France libre, grand officier de la Légion d'honneur et compagnon de la Libération dénonce ainsi certaines des méthodes pratiquées en Algérie soulève un scandale. Le général reconnaît qu'il a contrevenu à la discipline. Il est mis pour deux mois aux arrêts de forteresse au fort de La Courneuve. On ne lui donnera plus de commandement en Algérie.
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ARISTÉE LETTRE D'
- Écrit par André PAUL
- 1 784 mots
Œuvre de propagande du judaïsme alexandrin, la Lettre d'Aristée est censée avoir été rédigée par un grand officier du roi Ptolémée (~ 285-~ 247). Elle est bien plus tardive en vérité, et il est difficile de la dater d'avant ~ 100. C'est là que, pour la première fois et brillamment orchestrée, se rencontre la légende selon laquelle la Loi juive aurait été traduite en grec, à Alexandrie, par soixante-douze vieillards mandés de Jérusalem.
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BOUGAINVILLE LOUIS ANTOINE comte de (1729-1811)
- Écrit par Jean-Marcel CHAMPION
- 2 315 mots
- 1 média
Bonaparte le comble de dignités : sénateur (1799), grand officier de la Légion d'honneur (1804), comte d'Empire (1808). Sa dernière fonction officielle fut de présider le conseil de guerre qui jugea les responsables du désastre de Trafalgar en 1809.
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FREY ROGER (1913-1997)
- Écrit par Bruno DIVE
- 3 709 mots
Il était grand officier de la Légion d'honneur et de l'ordre national du mérite, croix de guerre et médaillé de la France libre.
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ÉPÉE
- Écrit par Hervé PINOTEAU
- 4 211 mots
Il existe bien d'autres épées illustres en France : au musée de l'Armée (hôtel des Invalides) est déposée l'épée de connétable de France datant du xve siècle, destinée à être portée haute et nue par ce grand officier de la Couronne, lors de l'entrée du roi en une ville ou lors de sa propre entrée, comme représentant du souverain ; on peut y voir aussi l'épée de François Ier à Pavie (1525), rapportée de Madrid par Murat (1808), l'épée de Napoléon Ier à Austerlitz (1805).