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Grené

  • Adjectif masculin singulier
  • Verbe au participe passé masculin singulier

Définition

Employé comme adjectif

  1. marqué de petites aspérités arrondies

Employé comme nom

  1. objet grené

Forme dérivée du verbe « grener »

"grené" dans l'encyclopédie

  • GREEN AL (1946- )

    • Écrit par Encyclopædia Universalis
    • 2 945 mots

    De son vrai nom Albert Greene. Chanteur et auteur-compositeur américain, l'interprète le plus populaire de soul music des années 1970. En transformant encore davantage des relations entre le sacré et le profane dans la soul music, Green a suivi la voie spirituelle de son grand inspirateur, Sam Cooke. Au sommet de son succès commercial, Green a toutefois sacrifié sa renommée afin de se consacrer entièrement à sa foi religieuse.

  • GREENE NANCY (1943- )

    • Écrit par Encyclopædia Universalis
    • 3 646 mots

    La Canadienne Nancy Greene remporta la première Coupe du monde de ski alpin en 1967, ainsi que la suivante. Elle fut également championne olympique de slalom géant en 1968. Considérée comme l'une des plus grandes championnes canadiennes, pour ses résultats mais aussi pour son charisme, elle fut élue en 1999 « sportive canadienne du xxe siècle ». Nancy Catherine Greene est née le 11 mai 1943 à Ottawa (Ontario), dans une famille de passionnés de ski (deux de ses sœurs feront également partie de l'équipe nationale canadienne).

  • GREENE MAURICE (1974- )

    • Écrit par Pierre LAGRUE
    • 2 227 mots

    Né le 23 juillet 1974 à Kansas City, l'athlète américain Maurice Greene se révèle en 1997 à l'occasion des Championnats du monde d'Athènes. Sur 100 mètres, lui et son « coéquipier » trinidadien du team H.S.I. de John Smith Ato Boldon, plus extraverti, assurent le spectacle lors des tours qualificatifs, en affirmant que l'un ou l'autre va mettre à mal le record du monde du Canadien Donovan Bailey (9,84 s).

  • GREENE GRAHAM (1904-1991)

    • Écrit par George W. BARLOW et Encyclopædia Universalis
    • 7 929 mots

    On commence par lire Graham Greene pour l'intrigue. De prime abord, son art du récit captive – peut-être par l'affabulation policière de la plupart de ses romans –, puis, en filigrane, apparaît bientôt une aventure intérieure aux horizons métaphysiques. On l'a parfois appelé le Mauriac anglais, cela pour deux raisons : parce que ses héros, de même que ceux de Mauriac, s'opposent comme en un contrepoint aux « gens bien », ensuite parce que, hanté de Dieu, il possède lui aussi des antennes pour capter la grâce qui sourd d'en bas.

  • GREEN JULIEN (1900-1998)

    • Écrit par Jean SÉMOLUÉ
    • 12 981 mots
    • 1 média

    « Courage, Green ! Votre œuvre est bonne. » En 1926, Georges Bernanos, dont Sous le soleil de Satan venait d'assurer la notoriété, tenait, par cet encouragement paru dans Les Nouvelles littéraires, à faire connaître le premier roman d'un débutant, Mont-Cinère, qu'il trouvait « marqué du signe de la vérité ». En 1998, le même Green est mort connu et reconnu, après une suite d'œuvres impressionnante.

Recherche alphabétique

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