Grosso modo

"grosso modo" dans l'encyclopédie

• DJEBĀL

  • Écrit par Jean CALMARD
  • 1 380 mots

  Elles étaient grosso modo : au nord, l'Elbourz ; à l'est, le Khurāsān ; au sud, le Fārs ; au sud-ouest et à l'ouest, le Khuzistan et l'Irak ; au nord-ouest, l'Azerbaïdjan. Ainsi définie, la région englobait la majeure partie des provinces actuelles de l'Iran frontalières de la province du Centre (Téhéran). Sa géographie et son histoire sont liées à celles de l'Iran.

• UMKLAPP PROCESSUS

  • Écrit par Viorel SERGIESCO
  • 2 540 mots

  Umklapp (terme allemand) signifie « renversement », puisque, par exemple, en (a), en tenant compte des grandeurs des vecteurs k (dans le schéma « réduit » des zones, qui constitue le mode de description le plus fréquent), l'impulsion résultante du processus « U » est dirigée grosso modo en sens inverse de l'impulsion résultante du processus « N » correspondant.

• PHILOSOPHIE ANATOMIQUE (É. Geoffroy Saint-Hilaire)

  • Écrit par Stéphane SCHMITT
  • 3 900 mots
  • 1 média

  Dans les années suivantes, Geoffroy va tenter d’étendre ces vues et de démontrer l’existence d’un plan d’organisation commun non seulement à tous les Vertébrés, mais aussi à d’autres groupes d’animaux, notamment aux « articulés » (grosso modo les Arthropodes) et aux Mollusques. Il va alors s’opposer à Cuvier pour qui, au contraire, chacun de ces groupes est caractérisé par un plan d’organisation spécifique, fonctionnel et irréductible aux autres.

• ENRAGÉS

  • Écrit par Jean DÉRENS
  • 5 019 mots

  Pourtant, jusqu'à la chute de la Gironde, députés montagnards et meneurs enragés parvinrent-ils à s'entendre assez pour agir grosso modo de concert dans une sorte de front populaire instable. En juin 1793, l'offensive de Jacques Roux, entraînant Enragés et Cordeliers contre la Constitution nouvelle, crée la rupture : sortant du rôle bénin d'une force d'appoint, les sans-culottes prétendaient imposer leurs solutions et non plus demander seulement qu'on les prît en considération.

• CLEBSCH RUDOLF FRIEDRICH ALFRED (1833-1872)

  • Écrit par Jeanne PEIFFER
  • 4 591 mots

  Il reformula le théorème d'Abel sur les intégrales de première espèce (affirmant grosso modo qu'une somme d'intégrales de première espèce peut s'exprimer par p de ces intégrales plus des termes algébriques et logarithmiques) en termes de courbes, et introduisit (en 1864) la notion de genre p d'une courbe plane de degré n : si la courbe a d points doubles, alorsp = 1/2(n—1)(n—2)—d.