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Guérisseur

  • Nom masculin singulier

Définition

  1. (en langage recherché) qui guérit, qui remet d'une maladie

"guérisseur" dans l'encyclopédie

  • PÉAN

    • Écrit par Barbara CASSIN
    • 1 390 mots

    Il est dédié par excellence à Apollon, le dieu guérisseur, dont péan est aussi l'épithète (cf. Péan, le nom du médecin d'entre les dieux, dans l'Iliade). Un péan demande la délivrance d'un mal : ainsi les Achéens apaisaient, tout le jour « chantant le beau péan », le dieu qui les avait punis en leur envoyant la peste (Iliade, I, 473) ; ou encore il remercie le dieu guérisseur, qui peut être aussi bien Artémis ou Asklépios.

  • BHAIṢAJYAGURU

    • Écrit par Jean-Christian COPPIETERS
    • 1 735 mots

    Buddha siégeant dans un univers oriental appelé Vaidūryanirbhāsa, Bhaiṣajyaguru (le Maître des remèdes), grand guérisseur, est très populaire en Chine et au Japon. Il est célèbre non seulement par ses talents de guérisseur et par l'ambition qu'il a de dépasser l'éclat du soleil, mais aussi par le vœu qu'il a fait de changer les femmes en hommes, de mettre tous les fidèles sur le chemin de la bodhi, de leur fournir habillement et nourriture.

  • ÉCROUELLES TOUCHER DES

    • Écrit par Solange MARIN
    • 2 685 mots

    Son adoption plus tardive dans ce dernier pays semble prouver que le roi anglais, conscient du surcroît de prestige apporté par le rite guérisseur, aurait imité son voisin, tout en prétendant s'appuyer sur l'exemple de son saint prédécesseur, Édouard le Confesseur. Quoi qu'il en soit, les rois de France et d'Angleterre furent à peu près les seuls souverains européens à pratiquer le toucher du « mal royal », et cela malgré l'essai infructueux d'autres monarchies pour s'imposer comme thaumaturges.

  • IMHOTEP (2800 av. J.-C. env.)

    • Écrit par Jean LECLANT
    • 717 mots
    • 2 médias

    Maître des scribes et sage par excellence, considéré dès le Nouvel Empire comme fils du dieu memphite Ptah, il fut à la Basse Époque vénéré comme dieu guérisseur. Sa chapelle de Saqqarah, lieu de pèlerinage important, devint un asklépiéion (les Grecs l'appelaient Imouthès). À partir du règne de Ptolémée I, son culte gagna la Haute Égypte et son image figure dans plusieurs temples gréco-romains.

  • PIERRE & DES DOUZE APÔTRES ACTES DE

    • Écrit par Michel PEZIN
    • 888 mots

    Tout dénote dans ce texte un milieu d'origine judéo-chrétien et, plus précisément, syriaque : l'accent porté sur la prédilection pour les pauvres, la condamnation des riches, le jeûne, le dépouillement nécessaire pour parvenir à la cité céleste, l'aspect double d'ange et de guérisseur des âmes que revêt le Christ et, enfin, les symbolismes de la « perle » et de la « cité céleste » (cf.

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