Gur
- Nom masculin singulier
Définition
- en géographie, mot arabe désignant des buttes dans le désert
- groupe linguistique d'Afrique
Synonyme
- gour
"gur" dans l'encyclopédie
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BAHRĀM ou VAHRĀM LES
- Écrit par Michèle ÉPINETTE
- 3 854 mots
- 2 médias
Bahrām Gūr meurt en 438, de mort naturelle, selon Firdousi, bien que la plupart des sources arabes le fassent mourir victime de son amour pour la chasse.
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QARA-KITAI ou KARA KITAY
- Écrit par Françoise AUBIN
- 1 489 mots
- 1 média
Quant au Gur-Khan, il a pour tâches principales l'émission d'une monnaie à son sceau et la perception d'un tribut que les princes autochtones, restés en place, lui versent en signe d'obédience. L'empire disparaît en 1211 sous l'effet des conquêtes gengiskhanides.
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GUDÉA (fin XXIIe s. av. J.-C.) prince de Lagash
- Écrit par Valentin NIKIPROWETZKY
- 2 464 mots
- 1 média
Gudéa est, avec Ur-gur-nammahni, l'un des gendres et successeurs de l'ensi Ur-bau qui exerce le pouvoir à Lagash au moment où disparaît le royaume d'Akkad au début du ~ xxiie siècle. Lagash est, du reste, dégagée de toute obédience envers Agadé, à la faveur de l'invasion des Gouti, avec l'ensi Lugal-ushum-gal. À Gudéa succède son fils Ur-ningirsu, qui a lui-même pour successeur son fils Pirig-me.
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LIMERICK
- Écrit par Roland MARX
- 2 900 mots
- 1 média
L'implantation humaine semble être très ancienne à Limerick (gaélique : Luimneach) ; à proximité se trouve le site de Lough Gur, le plus important habitat néolithique irlandais connu. De très nombreuses traditions se rapportent à l'Antiquité (passage de saint Patrick), mais la ville n'apparaît dans l'histoire que vers 840 lorsqu'elle est détruite par les Norvégiens qui, conscients de la valeur de sa position, la reconstruisent et établissent une ville-État, centre de commerce et leur principal point d'implantation sur la côte ouest.
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PRÊTRE JEAN
- Écrit par Jean RICHARD
- 3 464 mots
Mais la première mention du Prêtre Jean montre qu'on reconnut celui-ci dans le Gūr-khān des Kara Kitay, vainqueur en 1141 du sultan de Perse, Sanjar. On reconnut aussi le Prêtre Jean (ou le roi David) en Gengis khān, lorsque celui-ci vainquit le sultan de Khorezm en 1221. Chaque fois, on crut que le souverain oriental venait au secours des chrétiens de Terre sainte.