Hémoptysie
- Nom féminin singulier
Définition
- en médecine, crachement de sang provenant des poumons
"hémoptysie" dans l'encyclopédie
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HÉMOPTYSIE
- Écrit par François BOURNÉRIAS
- 1 053 mots
Enfin, dans un tableau de traumatisme thoracique, l'hémoptysie est un signe d'alarme traduisant toujours une contusion broncho-pulmonaire.
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SALICAIRE
- Écrit par Pierre LIEUTAGHI
- 1 314 mots
Elle pourrait éventuellement rendre des services dans des syndromes hémorragiques : hématurie, hémoptysie, saignement de nez (infusion de sommités fleuries sèches : 40 g/l ; 2 tasses par jour). En usage externe, l'infusion à 6 p. 100 s'emploie sur l'eczéma, l'intertrigo, les ulcères variqueux, le prurit vulvaire, et en injections dans les vaginites.
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RENOUÉE DES OISEAUX
- Écrit par Pierre LIEUTAGHI
- 1 340 mots
La plante est hémostatique : sa décoction ou, mieux, le suc fraîchement exprimé après broyage (un verre par jour) est utilisé contre l'hémoptysie, les métrorragies, les saignements de nez (introduire aussi dans les narines un coton imbibé de suc), les hémorroïdes. Par son tanin et sa silice, la renouée serait, comme la prêle, un adjuvant utile dans le traitement de la tuberculose pulmonaire.
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TCHEKHOV ANTON PAVLOVITCH (repères chronologiques)
- Écrit par Jean-François PÉPIN
- 2 122 mots
Tchekhov commence à exercer dans les environs de Moscou (première hémoptysie). Publication d'un premier recueil de nouvelles, Les Contes de Melpomène. 1886 Il collabore au journal Temps nouveau. C'est le début d'une longue amitié avec A. S. Souvorine, son directeur. Il publie sous le nom de Tchekhov son deuxième recueil de nouvelles, Récits bariolés.
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ÉRASISTRATE (env. 320-250 av. J.-C.)
- Écrit par Jacqueline BROSSOLLET
- 2 533 mots
Diététicien et hygiéniste, il traita par le jeûne modéré les troubles causés par la pléthore, qu'il rendait responsable d'ennuis digestifs et de certains cas d'hémoptysie, d'hémorragie, d'angine et d'hémorroïdes ; bien qu'il conseillât une légère diète et une gymnastique élémentaire, il fut un adversaire acharné de la saignée, et Galien l'en railla en intitulant l'un de ses ouvrages : De la saignée contre Érasistrate (De venoe sectione adversus Erasistratum).