Hévéa
- Nom masculin singulier
Définition
- en botanique, grand arbre de la famille des euphorbiacées, originaire de la Guyane
"hévéa" dans l'encyclopédie
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GARUT PLAINE DE
- Écrit par Jean PIWNIK
- 671 mots
On cultive aussi le cinchona (l'arbre à quinquina) et l'hévéa. La ville de Garut, située à 770 mètres d'altitude et centre de cette riche région agricole, est connue comme l'une des plus belles stations climatiques de Java.
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DJAMBI
- Écrit par Jean PIWNIK
- 1 317 mots
- 1 média
L'hévéa, cultivé en petites exploitations, est l'autre ressource importante. Djambi est la ville principale avec 443 370 habitants en 2006. Elle est située au centre de la région d'hévéaculture et près des importants gisements de pétrole de Ukui et de Duri reliés par pipeline aux raffineries de Palembang.
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RIAU
- Écrit par Jean PIWNIK
- 1 490 mots
La population malaise, largement constituée d'immigrants récents venus du pays minangkabau, exploite le sagoutier (dont le tronc broyé donne une sorte de farine) et surtout l'hévéa dans l'île de Bengkali. Le caoutchouc est exporté, après un traitement sommaire, vers Singapour. L'agriculture concerne le riz, le maïs, le coprah, le soja, le poivrier.
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MEDAN
- Écrit par Jean PIWNIK
- 1 632 mots
- 1 média
Son importance économique s'appuie sur les gisements de pétrole et de gaz du nord de Sumatra (baie d'Aru), ainsi que sur la culture en grandes plantations (estates) du tabac et de l'hévéa dans le district de Deli. La ville est reliée par chemin de fer au port de Belawan-Deli, sur le détroit de Malacca, qui exporte le pétrole de la baie d'Aru ainsi que les produits agricoles de l'arrière-pays (cacao, café, thé, tabac, fruits, légumes, maïs, riz, soja.
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YERSIN ALEXANDRE (1863-1943)
- Écrit par Jacqueline BROSSOLLET
- 4 244 mots
- 1 média
Pour financer ce laboratoire, il entreprend la culture du maïs, du riz et du café, et finalement il introduit et acclimate l'hévéa (Hevea brasiliensis), dont la culture s'étendra et fera la fortune du pays jusqu'à ce que le caoutchouc synthétique lui fasse concurrence, après la Première Guerre mondiale. Durant cette guerre, l'Indochine n'ayant pu recevoir la quinine nécessaire au traitement de ses nombreux paludéens, Yersin décide, en 1920, d'introduire et d'acclimater le quinquina (Cinchona ledgeriana) ; il y réussit en 1923, et dès lors l'Indochine produira sa propre quinine.