Haut mal
Définition
- (vieilli) attaque d'épilepsie
"haut mal" dans l'encyclopédie
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ROMAN GRAPHIQUE
- Écrit par Dominique PETITFAUX
- 12 342 mots
- 2 médias
Profitant des réticences initiales des autres éditeurs, L’Association publia des ouvrages qui s’avérèrent déterminants pour la reconnaissance du roman graphique, comme L’Ascension du Haut Mal (1996), où David B. raconte sa jeunesse auprès de son frère épileptique, ou encore Persepolis (2000), autobiographie de l’Iranienne Marjane Satrapi, exilée en France à la suite de la révolution islamique, une œuvre qui connut par la suite un grand succès aux États-Unis.
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LEIRIS MICHEL (1901-1990)
- Écrit par Gilles QUINSAT
- 15 985 mots
- 1 média
Qu'il s'agisse de la poésie (Simulacre, 1925, Haut Mal, 1943), du roman (Aurora), des essais artistiques ou ethnographiques (Miroir de la tauromachie, 1938), on note une diversité extrême de l'écriture. Comme si les genres littéraires contraignaient l'auteur à ne se présenter que scindé, et débouchaient naturellement sur l'autobiographie, qui oblige celui qui s'y soumet à réinventer ce genre même au fur et à mesure que se crée l'autoportrait.
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ÉPILEPSIE
- Écrit par Henri GASTAUT et François MIKOL
- 33 903 mots
- 3 médias
Ces crises, que l'on appelle aujourd'hui « crises épileptiques tonico-cloniques », étaient alors désignées par des appellations diverses ayant trait à un de leurs symptômes jugé principal, ou à l'origine supposée sacrée (divine ou diabolique) d'un mal (en latin morbus) dont la manifestation suffisait à interrompre les comices dans la Rome antique : morbus sideratus sive sonticus, morbus caducus, mal de la terre, haut mal, grand mal, morbus sacer, divinus, diabolicus, astralis, scelestus, comitialis, mal de Saint-Jean, de Saint-Valentin.
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BANDE DESSINÉE
- Écrit par Dominique PETITFAUX
- 126 106 mots
- 16 médias
Toute bande dessinée est fondée sur une juxtaposition d’images, organisée en séquences narratives. Chaque image – dite « vignette » – se trouve généralement à l’intérieur d’un cadre rectangulaire, la « case ». Un alignement de cases forme un « registre » ou « strip ». Une superposition de registres occupant toute une page d’une revue ou d’un album constitue une « planche ».