Haut-allemand
- Nom masculin singulier
Définition
- en linguistique, langue indo-européenne distincte du bas allemand par le fait que les occlusives sourdes sont devenues des affriquées ou des constructives
"haut-allemand" dans l'encyclopédie
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GRANNOS
- Écrit par Christian-Joseph GUYONVARC'H
- 953 mots
Mais une influence germanique est possible (vieux haut allemand gran, kran) et elle expliquerait la syncope du premier -a- (cf. la légende de Lohengrin).
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GOTTSCHED JOHANN CHRISTOPH (1700-1766)
- Écrit par Lore de CHAMBURE
- 4 968 mots
De 1757 à sa mort, le dictateur abattu travaille à un ouvrage que ses contemporains prendront à peine en considération : Matériel nécessaire à l'histoire de l'art dramatique allemand (Nötiger Vorrat zur Geschichte der deutschen dramatischen Dichtkunst), à la fois un inventaire, une traduction et la publication des monuments littéraires du vieil haut allemand.
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ECK JOHANN MAIER dit JOHANN (1486-1543)
- Écrit par Bernard ROUSSEL
- 2 166 mots
Par ailleurs, grand prédicateur, il trouva le temps de préparer, en s'appuyant sur les travaux d'Emser pour le Nouveau Testament, une traduction de la Bible en haut allemand.
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THOR ou DONAR
- Écrit par Encyclopædia Universalis
- 2 469 mots
- 1 média
La fonction de Thor comme dieu du tonnerre et sa force combative (en vertu de laquelle Tacite l'assimile à Hercule) expliquent qu'il ait pu être comparé à Jupiter, le jeudi, dies Jovis, ayant pour correspondant, en haut-allemand, Donnerstag et, en anglais, Thursday. Dieu atmosphérique, maître de la foudre, dieu guerrier, vigoureux adversaire des géants, le Thor scandinave était vénéré surtout par la population rurale, par ces paysans libres qui, formant la suite des rois, prirent le goût des aventures prometteuses de butin ; aussi retrouve-t-on généralement le culte de Thor sur le chemin des incursions des Vikings.
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PLAATJE SALOMON TSHEKISO (1876-1932)
- Écrit par Encyclopædia Universalis
- 2 146 mots
De langue maternelle tswana, la principale langue du Botswana, cet érudit apprit l'anglais, l'afrikaans, le haut allemand, l'allemand, le français, le sotho, le zoulou et le xhosa. Solomon Tshekiso Plaatje naît en 1876 à Boshof, dans l'État libre d'Orange. Grâce à ses connaissances linguistiques, il occupe divers postes, officiant d'abord comme correspondant pendant la guerre des Boers (1899-1902), avant de devenir rédacteur pour Koranta ea Becoana (« La Gazette tswana ») de 1901 à 1908, puis pour Tsala ea Batho (« L'Ami du peuple ») à partir de 1912.