Haut-commandement
- Nom masculin singulier
Définition
- dans l'armée, plus hautes autorités
"haut-commandement" dans l'encyclopédie
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DIRECTIVE
- Écrit par Louis-Jérôme CHAPUISAT
- 1 671 mots
La hiérarchie militaire connaît aussi des directives analogues, qui sont des instructions émanant du haut commandement, définissant sa conception générale de telle opération, dans le cadre de laquelle chaque échelon subordonné rédige ensuite ses ordres. Dans le langage administratif, la directive conserve le même sens mais sans véritable sanction juridique.
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MILLER EVGUENI (1867-1937)
- Écrit par Pierre KOVALEWSKY
- 1 763 mots
- 1 média
Après la révolution de Février, il passe en jugement sur la demande du soviet pour avoir voulu maintenir la discipline dans l'armée, mais il est acquitté par ses chefs et envoyé en Italie comme représentant de l'armée russe auprès du haut commandement italien. En 1918, il rallie le gouvernement anticommuniste du nord de la Russie, présidé par le socialiste Nicolas Tchaïkovski, et prend la direction des fronts d'Arkhangelsk et de Mourmansk.
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CUSTOZZA BATAILLES DE (25 juill. 1848 et 24 juin 1866)
- Écrit par Encyclopædia Universalis
- 1 750 mots
Cet échec, essuyé malgré la supériorité en nombre, déstabilise le haut commandement italien qui ordonne la retraite et passera un mois à réorganiser son armée. Au cours de la même année, cependant, l'Autriche sera contrainte de se retirer d'Italie, sous la pression conjuguée des Prussiens et des Français.
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LÉGION ARABE
- Écrit par Jean DELMAS
- 2 276 mots
- 2 médias
Forte de douze mille hommes dont la solde est payée par l'Angleterre et dont tout le haut commandement est composé d'officiers britanniques, suivant un entraînement rigoureux et acceptant une discipline rigide, la Légion arabe apparaît alors comme un instrument efficace très dévoué à ‘Abd Allāh. Mais, très marquée par son encadrement britannique, elle est l'objet de vives attaques dans le monde arabe, qui doute de sa volonté de reprendre la lutte contre Israël.
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VERDUN BATAILLE DE (1916)
- Écrit par Pierre GOBERT
- 3 086 mots
- 1 média
C'est alors que Pétain adresse à ses troupes l'ordre du jour fameux se terminant par ces mots : « On les aura ! » Constatant que les Français ont engagé à Verdun plus de divisions que lui-même (40 contre 26), le haut commandement allemand en déduit qu'ils s'épuisent et ne tarderont pas à s'effondrer. Il se trompe : si les divisions françaises passent si nombreuses sous Verdun, c'est que le commandement français y a établi une « noria » de toutes ses grandes unités, qu'il relève avant qu'elles ne soient trop éprouvées.