Hexavalent
- Adjectif masculin singulier
Définition
- en chimie, se dit des corps à six valences
"hexavalent" dans l'encyclopédie
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SOUFRE
- Écrit par Fernande CHATAGNER, René LECLERCQ, Noël LOZAC'H et Serge MASSON
- 35 942 mots
- 11 médias
Dérivés du soufre hexavalent On peut faire sur cette hexavalence du soufre les mêmes réserves que sur sa quadrivalence. Il est peu de composés, comme SF6 et ses dérivés organiques, où le soufre soit à la fois hexacoordiné et hexavalent, et l'on a, le plus souvent, des dérivés du soufre hexavalent où cet élément est quadricoordiné comme dans l'ion sulfate SO2—4.
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PLUTONIUM
- Écrit par Daniel CALAIS et André CHESNÉ
- 21 368 mots
- 2 médias
L'ion pentavalent est peu stable : il se dismute en milieu acide pour donner l'ion tétravalent et l'ion hexavalent. Celui-ci a un comportement voisin de l'ion uranyle UO22+, mais son pouvoir oxydant lui confère une stabilité beaucoup moins grande. Il est réduit aux valences inférieures par de nombreuses espèces telles que le fer ferreux, l'iodure, l'uranium tétravalent, l'hydrazine et l'hydroxylamine.
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URANIUM
- Écrit par Bernard BOUDOURESQUES, Jean CARALP, Jeanne LEHMANN et Jean-Louis VIGNES
- 34 274 mots
- 9 médias
L'uranium hexavalent est beaucoup plus soluble que l'uranium tétravalent ; il forme des complexes, les plus fréquents étant les uranylcarbonates et les uranylsulfates. Distribution géochimique de l'uranium Dans la lithosphère, la teneur moyenne en uranium est de 3 à 4 parties par million (p.p.m.), mais l'éventail est très large selon les matériaux.
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VACCINATION
- Écrit par Françoise SALVADORI et Laurent-Henri VIGNAUD
- 42 579 mots
- 7 médias
Des parents continueront longtemps de refuser ce vaccin pour leurs enfants, ce qui pose problème parce qu’il est associé dans le vaccin hexavalent avec des vaccins obligatoires. À chaque pays sa polémique : celle-ci est persistante en France, comme celle qui dénonce (sans études probantes) la toxicité de l’adjuvant aluminique. Mais, à la même période en Angleterre, c’est le vaccin contre rougeole, oreillons et rubéole (MMR ou ROR) qui est boudé, suite à la publication dans le Lancet, en 1998, d’un article signé d’Andrew Wakefield, suggérant un lien avec l’autisme infantile.