Hi
- Interjection
Définition
- interjection qui exprime le rire
"hi" dans l'encyclopédie
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HI RECORDS
- Écrit par Peter SILVERTON et Encyclopædia Universalis
- 2 266 mots
Les rythmes chaloupés de Hi Records transparaissent par ailleurs dans la house music, plus ouvertement érotique, née à Chicago dans les années 1980.
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ZHU XI [TCHOU HI] (1130-1200)
- Écrit par Léon VANDERMEERSCH
- 9 704 mots
Dans l'histoire de la pensée chinoise, Zhu Xi est le plus important des maîtres de l'orthodoxie après Confucius lui-même. On lui doit la restauration moderne du confucianisme, éclipsé à partir de l'époque des Six Dynasties par les développements de la philosophie bouddhique. À sa doctrine est attaché plus particulièrement le nom de philosophie de la raison (lixue), où le mot « raison » doit s'entendre au sens chinois de « raison d'être objective » des choses, à la différence de la raison connaissante, comme faculté de l'esprit, analysée par la philosophie critique occidentale.
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XI KANG [HI K'ANG] (223-262)
- Écrit par Donald HOLZMAN
- 1 806 mots
Originaire d'une famille aisée et traditionnellement confucianiste, marié à une princesse de la dynastie régnante, Xi (on transcrit aussi Ji) Kang n'occupa jamais dans la hiérarchie des fonctionnaires qu'un poste honoraire sans charge (zhongsan dafu). Pour un homme de sa classe et de ses talents, ce refus de s'engager dans la vie publique est si extraordinaire que les usurpateurs au pouvoir l'ont interprété comme une preuve de sédition ou d'atteinte aux bonnes mœurs ; il fut exécuté sur la place publique dans sa quarantième année.
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HUANG ZONGXI [HOUANG TSONG-HI] (1610-1695)
- Écrit par Lucie RAULT
- 1 892 mots
Originaire de Yuyao (Zhejiang), Huang Zongxi (ou Huang Lizhou), dit Nanlei, est l'un des plus éminents lettrés du début des Qing. Après avoir obtenu son titre de licencié, il séjourne deux années à Pékin où il s'initie aux problèmes et aux intrigues politiques de l'époque. En 1630, révolté par l'injuste exécution de son père, il devient à Nankin membre du groupe politico-littéraire Fushe (Société du renouveau) et entreprend, selon le vœu paternel, une étude détaillée de l'histoire des Ming.
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GUO XI [KOUO HI] (1020 env.-env. 1100)
- Écrit par Pierre RYCKMANS
- 7 365 mots
Après la phase contemplative et statique du paysage classique du xe siècle, la peinture de Guo Xi amorce une conception dynamique et active de la composition picturale, dont la construction apparaît au spectateur non plus comme un équilibre immobile, mais comme un devenir en expansion illimitée. Le recours à des procédés que l'on pourrait presque qualifier d'illusionnistes, l'ivresse de la forme qui tend à se nourrir d'elle-même et à proliférer selon sa logique propre (encore que chez Guo Xi le point de départ fourni par l'observation réaliste de la nature ne soit jamais perdu de vue), tout cela tend à ramener la peinture dans la ligne d'un certain professionnalisme et annonce en un sens le formalisme virtuose de l'Académie.