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Hippocratisme

  • Nom masculin singulier

Définition

  1. en pathologie, médecine basée sur l'enseignement d'Hippocrate

"hippocratisme" dans l'encyclopédie

  • PARANÉOPLASIES ou SYNDROMES PARANÉOPLASIQUES

    • Écrit par René PIÉRON
    • 5 848 mots

    On a rassemblé sous la dénomination de dysacromélies thoraciques leurs trois principales modalités : – L' hippocratisme digital, déformation particulière des ongles et des dernières phalanges des doigts, et parfois des orteils. – Des manifestations articulaires rebelles touchant plusieurs articulations et prenant le masque d'un rhumatisme inflammatoire.

  • HIPPOCRATE DE COS (460-env. 370 av. J.-C.)

    • Écrit par Jacques JOUANNA
    • 37 697 mots
    • 1 média

    La Renaissance marque un retour au texte grec (conservé grâce à Byzance et édité pour la première fois à Venise en 1526) et une connaissance directe d'Hippocrate dont la destinée posthume se séparera de celle de Galien, l'hippocratisme s'opposant même au galénisme et marquant un retour à l'expérience. L'université de Montpellier s'illustra par son hippocratisme.

  • SANTÉ ET ENVIRONNEMENT

    • Écrit par Gabriel GACHELIN
    • 42 701 mots
    • 3 médias

    Ce néo-hippocratisme s'accommode parfaitement de la théorie des miasmes produits par la putréfaction de matières organiques et dispersés par les vents : l'environnement putride ou pestilentiel est tenu pour être à l'origine des fièvres, telles que la fièvre jaune et le paludisme, mais aussi de nombreuses autres maladies. Le néo-hippocratisme se coule également bien dans la géographie médicale climatique, comme celle que développe Heinrich Berghaus dans les planches médicales de son Physikalischer Atlas publié à partir de 1838, où il associe les maladies aux caractéristiques climatiques des lieux où l'homme réside.

  • OS

    • Écrit par Jean-Paul CAMUS, Armand de RICQLÈS et Encyclopædia Universalis
    • 87 314 mots
    • 7 médias

    Seuls constituants du corps des vertébrés qui soient normalement préservés après la mort grâce à leur minéralisation élevée, les tissus du squelette (os, dents, cartilages) ont été longtemps considérés comme formant la charpente inerte de l'organisme. Toute l'évolution de la biologie s'inscrit en faux contre cette manière de voir superficielle. Actuellement, le squelette apparaît au contraire formé de tissus vivants ayant une activité physiologique importante, perpétuellement en voie de remaniement, échangeant sans cesse des éléments avec le milieu intérieur.

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