Impesanteur
- Nom féminin singulier
Définition
- apesanteur
"impesanteur" dans l'encyclopédie
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TITOV GUERMAN STEPANOVITCH (1935-2000)
- Écrit par Encyclopædia Universalis
- 1 445 mots
Il sera aussi le premier à souffrir du « mal de l'espace », troubles et nausées affectant l'organisme en impesanteur. Il deviendra ensuite commandant adjoint des forces militaires spatiales de l'U.R.S.S., sera député au Soviet suprême de 1962 à 1970 et élu en 1995 député au Parlement russe, sous l'étiquette communiste.
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SPACESHIPTWO, avion spatial
- Écrit par Jacques VILLAIN
- 1 647 mots
- 1 média
C'est pourquoi, il s'agit plutôt de vols suborbitaux (et non de vols orbitaux) avec une période d'impesanteur (apesanteur) de l'ordre de cinq minutes.
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SCHIRRA WALTER (1923-2007)
- Écrit par Encyclopædia Universalis
- 2 423 mots
Schirra pilote Gemini-VI, qui va s'approcher à une trentaine de centimètres seulement de Gemini-VII ; les missions Gemini-VI et Gemini-VII, au cours desquelles sont réalisés un vol de longue durée – 14 jours pour Gemini-VII – et un rendez-vous spatial, apportent les réponses à deux questions cruciales pour la réussite du programme Apollo : l'homme conserve toutes ses facultés après un séjour prolongé en impesanteur, et deux véhicules peuvent réaliser un rendez-vous spatial.
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COHEN-TANNOUDJI CLAUDE (1933- )
- Écrit par Étienne GUYON
- 4 225 mots
- 1 média
En plaçant l'expérience dans un avion faisant un vol en impesanteur, Christophe Salomon, élève de Claude Cohen-Tannoudji, a pu profiter de ces atomes allégés et très calmes pour construire une horloge atomique si précise qu'elle ne dériverait que d'une seconde par siècle. Revenu sur le sol, on peut manipuler ces atomes froids, les lancer en l'air pour les faire retomber en fontaine, les faire rebondir sur un miroir électromagnétique comme sur un trampoline.
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HAIGNERÉ JEAN-PIERRE (1948- )
- Écrit par Jacques VILLAIN
- 4 423 mots
, utilisée pour les vols paraboliques recréant l'impesanteur ; il devient le responsable technique et opérationnel de ce programme. En décembre 1990, il est désigné comme cosmonaute de réserve de Michel Tognini pour la mission franco-russe Antarès, et il part s'entraîner à la Cité des étoiles, près de Moscou. Le 1er juillet 1993, il décolle de Baïkonour à bord du vaisseau Soyouz TM-17, en compagnie de Vasili Vasilievitch Tsibliev et d'Alexandre Alexandrovitch Serebrov, pour atteindre le 3 juillet la station Mir ; Jean-Pierre Haigneré va se livrer à des expériences scientifiques et médicales dans le cadre de la mission franco-russe Altaïr, qui durera 20 jours et 16 heures ; il revient sur Terre le 22 juillet, à bord de Soyouz TM-16, avec l'équipage présent dans Mir depuis six mois, composé de Guennadi Mikhaïlovitch Manakov et d'Alexandre Fedorovitch Polechtchouk.