Impromptu

"impromptu" dans l'encyclopédie

• MOLIÈRE (repères chronologiques)

  • Écrit par Jean-François PÉPIN
  • 1 690 mots

  Octobre 1663 Molière reçoit une pension du roi et donne au château de Versailles L'Impromptu de Versailles. 12 mai 1664 Création de Tartuffe à Versailles. Cabale des dévôts, conduite par la reine mère et le prince de Conti, qui entraîne l'interdiction d'imprimer et de représenter la pièce. 15 février 1665 Création de Dom Juan. 1666 Le Misanthrope. Le Médecin malgré lui.

• LONG MARGUERITE (1874-1966)

  • Écrit par Pierre BRETON
  • 5 090 mots

  Gabriel Fauré lui a dédié son Quatrième Impromptu (1905), Déodat de Séverac son Retour des muletiers, dernière pièce de sa suite pour piano Cerdaña (1911), Erik Satie ses Peccadilles importunes (1913), Francis Poulenc la première de ses Improvisations (1932), Darius Milhaud son Premier Concerto pour piano (qu'elle crée le 23 novembre 1934). Elle a créé plusieurs pages de Fauré – Neuvième Barcarolle (1909), Cinquième Impromptu (1909), Préludes op.

• ŒUVRES (G. Perros) Fiche de lecture

  • Écrit par Yves LECLAIR
  • 5 492 mots

  « Professeur d’ignorance » Dans leurs multiples états, les œuvres de Perros reflètent une grande unité de style : la familiarité de ton populaire piquée d’ironie distinguée, le jeu malicieux sur l’impromptu, le perpétuel porte-à-faux entre le grave et le léger, l’art contrasté de la syncope et de la ritournelle, le laconisme, l’humour et les innombrables bonheurs d’expression subvertissent la lettre et l’esprit des mots tirés de la conversation ordinaire.

• BERNARD PAUL dit TRISTAN (1866-1947)

  • Écrit par Jean-Pierre ÉNARD
  • 2 113 mots

  Puis, en collaboration avec d'autres auteurs, parmi lesquels Renard et Courteline, X, roman impromptu (1896). Romancier abondant, il publie notamment Mémoires d'un jeune homme rangé (1899) et Un mari pacifique (1901), récits bonhommes et ironiques, empreints d'une verve très boulevardière. C'est du reste au théâtre que Tristan Bernard connaît de véritables triomphes.

• HUGON GEORGES (1904-1980)

  • Écrit par Alain PÂRIS
  • 2 534 mots

  Il compose une deuxième symphonie en 1951, La Genèse d'or, des chœurs a cappella pour voix de femmes (1953), une sonate-impromptu pour violon et piano (1960). Son concerto pour piano (1962) marque un changement esthétique profond : la polytonalité est non seulement admise, mais largement utilisée, poussée parfois à l'extrême. En revanche, la construction reste traditionnelle et l'opposition de ces deux moyens d'expression engendre des œuvres fortes aux contrastes violents, très originales.