Improprement
- Adverbe
Définition
- de façon impropre
"improprement" dans l'encyclopédie
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EFFECTEURS
- Écrit par Armand TIBI
- 764 mots
En physiologie, effecteurs se dit des cellules cibles (ou, mais improprement, « récepteurs ») qui, excitées par un stimulus (hormone, influx nerveux, antigène), répondent par une réaction spécifique de l'espèce cellulaire : sécrétion, motricité, synthèse d'anticorps. En enzymologie, ce terme désigne, au contraire, certaines substances chimiques (appelées activateurs ou inhibiteurs), généralement de faible poids moléculaire, qui, après fixation sur les enzymes ou sur les protéines, stimulent ou diminuent l'activité catalytique ou biologique de ces molécules.
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FIBROMYOME
- Écrit par François BOURNÉRIAS
- 1 078 mots
Improprement appelé fibrome, le fibromyome utérin est une tumeur bénigne du muscle utérin, constitué dans des proportions variables de fibres musculaires lisses et de tissu conjonctif fibreux. Sa fréquence est grande (environ une femme sur cinq en est atteinte) et sa symptomatologie des plus variables, en fonction de la taille des tumeurs, de leur situation exacte, de leur nombre, qui peut être grand.
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TADORNE
- Écrit par Encyclopædia Universalis
- 1 089 mots
En Amérique du Nord, le harle est parfois appelé, improprement, tadorne.
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MOLÈNE
- Écrit par Pierre LIEUTAGHI
- 1 275 mots
Ces fleurs font partie, avec le coquelicot, la mauve, la guimauve, le tussilage, la violette, le pied-de-chat, de la tisane pectorale dite, improprement, « des quatre-fleurs » (1 cuillerée à soupe par tasse d'eau bouillante ; obligation de passer à travers un linge fin pour retenir les poils irritants de la molène). Apaisant les irritations intestinales et urinaires : dysenterie, coliques, hémorroïdes, cystite (infusion simple à 2 p.
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PROTECTION DE LA NATURE Vue d'ensemble
- Écrit par Robert BARBAULT
- 5 644 mots
C'est ce que mettra en relief une synthèse consacrée à la conservation des espèces et à l'émergence, au sein d'une écologie qui prend conscience de l'anthropisation du monde, d'une nouvelle discipline improprement baptisée « biologie de la conservation ». Improprement, parce qu'il ne s'agit pas que de biologie, loin de là : c'est à la constitution d'une véritable science intégrative de la conservation des espèces et des milieux, une science tournée vers l'action, qu'écologues et spécialistes des sciences de l'homme et de la société sont emportés ensemble.