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Impureté

  • Nom féminin singulier

Définition

  1. état de ce qui est impur, mélangé, altéré
  2. ce qui salit, altère quelque chose
  3. (vieilli) corruption morale, impudeur

"impureté" dans l'encyclopédie

  • RITES

    • Écrit par Jean CAZENEUVE
    • 20 661 mots

    Dans d'autres cas, on utilise des symboles pour chasser l'impureté, par exemple au moyen d'un lavage avec de l'eau ou par des fumigations. La confession des péchés, chez les primitifs, est un rite cathartique. En énonçant les fautes, on expulse la « souillure » qui leur était attachée. Mais toutes les causes d'impureté ne sont pas décelables et l'on peut penser qu'elles finissent par s'accumuler.

  • SURFUSION

    • Écrit par Pierre MOYEN
    • 983 mots

    Au-dessus de cette température, la surfusion peut cesser, le liquide se cristallisant alors très vite, si l'on introduit un germe de cristallisation, qui peut être un cristal du corps étudié ou une impureté, ou si le liquide est soumis à une agitation mécanique. Dans certains cas, la surfusion peut exister à des températures assez basses pour que le corps soit solide sans cristalliser.

  • TEMPLE ROULEAU DU

    • Écrit par Gérard NAHON
    • 1 025 mots

    Il contient des lois de pureté et d'impureté, des préceptes relatifs aux fêtes (dont une est dite fête du vin nouveau et une autre fête de l'huile nouvelle ; fixées la première à cinquante jours, la seconde à cent jours de la Pentecôte, elles sont inconnues du Pentateuque). L'essentiel du document est constitué par le plan et les pratiques du Temple.

  • FRIEDEL JACQUES (1921-2014)

    • Écrit par Bernard PIRE
    • 3 871 mots

    Friedel démontre en 1956 que, dans certains cas, les états localisés de l’impureté interagissent faiblement avec le continuum des états électroniques de conduction ; certains électrons restent alors longtemps sur le site d’impureté avant de sauter sur un site voisin, ce qui entraîne une forte augmentation de certaines propriétés comme la chaleur spécifique ou la résistivité.

  • DOCÉTISME

    • Écrit par Richard GOULET
    • 1 322 mots

    Il s'est en effet développé à partir de spéculations sur l'imperfection ou l'impureté fondamentale de la matière. Des docètes plus radicaux ont soutenu que le Christ était né sans aucune participation à la matière et que toutes les actions et les souffrances de sa vie, y compris la crucifixion, n'étaient que des apparences. Ils niaient donc la Résurrection et l'Ascension.

Recherche alphabétique

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