Inappétence

"inappétence" dans l'encyclopédie

• ORIGAN

  • Écrit par Pierre LIEUTAGHI
  • 1 687 mots

  Bon stimulant de l'appareil digestif : inappétence, gastropathies nerveuses, digestions difficiles avec fermentation, aérophagie (infusion : de 10 à 20 g par litre d'eau ; une tasse après les repas). Particulièrement utile dans diverses affections des voies respiratoires (catarrhes bronchiques, emphysème, trachéo-bronchite, trachéite), il calme la toux en favorisant l'expectoration (sirop : sommités d'origan, 100 g ; eau bouillante, 1 l ; infuser deux heures en vase clos ; passer ; ajouter 1 600 g de sucre ; 1 cuillerée à soupe toutes les deux ou trois heures).

• MÉLISSE

  • Écrit par Pierre LIEUTAGHI
  • 1 906 mots

  Utile aussi dans les gastropathies nerveuses, les digestions difficiles, les vomissements (de la grossesse en particulier), l'atonie intestinale, l'inappétence. Les états d'irritation interne la contre-indiquent. L'eau de mélisse est le produit de la distillation d'une macération alcoolique de mélisse fraîche qu'accompagnent zeste de citron, cannelle, girofle, muscade, coriandre, racine d'angélique.

• GENTIANE

  • Écrit par Pierre LIEUTAGHI
  • 2 725 mots
  • 1 média

  Elle combat très efficacement l'inappétence, l'atonie intestinale, avec ou sans diarrhée. On l'indique aussi dans l'insuffisance hépatique et contre les parasites intestinaux (oxyures). La gentiane favorise la multiplication des leucocytes. Elle exerce une action tonique sur l'ensemble de l'organisme dans certaines anémies et dans les convalescences de maladies infectieuses.

• PSITTACOSE-ORNITHOSE

  • Écrit par Marcel CAPPONI
  • 7 659 mots

  Mais quelquefois, l'abattement, la diarrhée, l'inappétence de l'oiseau malade font envisager le diagnostic. On peut prévenir cette maladie en faisant absorber aux oiseaux des antibiotiques du groupe des tétracyclines. Épidémiologie Les Psittacidés importés ont été à la source de la plupart des épidémies, ce qui justifie la surveillance sanitaire très stricte à laquelle ils sont soumis actuellement.

• REIN

  • Écrit par Paul JUNGERS
  • 85 266 mots
  • 8 médias

  Les fonctions d' excrétion et la régulation de la composition du « milieu intérieur », où vivent les cellules qui composent l'organisme, sont étroitement liées dans toute la série animale ; toutefois, ce n'est que chez les vers qu'apparaissent des organes excréteurs spécialisés : ce sont des tubes (protonéphridies des Turbellariés par exemple, néphridies des Annélides) reliant les espaces interstitiels ou le cœlome au milieu extérieur.