Inconsolable
- Adjectif singulier invariant en genre
Définition
- qui ne peut se consoler
"inconsolable" dans l'encyclopédie
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KOLTSOV ALEXEÏ VASSILIEVITCH (1809-1842)
- Écrit par Alexandre BOURMEYSTER
- 760 mots
Mélancolique, inconsolable après la mort de sa bien-aimée, il meurt phtisique.
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BONAPARTE PAOLETTA dite PAULINE (1780-1825) princesse BORGHÈSE (1803) duchesse de Guastalla (1806)
- Écrit par Jean MASSIN
- 1 318 mots
- 1 média
D'abord inconsolable, la veuve Leclerc convole dès 1803 avec Camille Borghèse, prince romain, possesseur d'une immense fortune, galant homme et peu jaloux ; dès lors, elle vit à sa guise, tantôt à Paris et tantôt à Rome. Elle n'a aucune ambition politique et se contente d'une petite principauté (qu'elle ne gouverne guère) « juste pour ne pas sembler oubliée ».
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CARON ANTOINE (1520 env.-env. 1599)
- Écrit par Michèle GRANDIN
- 1 882 mots
- 1 média
La reine est comparée à Artémise, la veuve inconsolable du roi Mausole. D'autres œuvres, peintures, dessins, cartons de tapisseries, sont attribuées à Caron : La Sibylle de Tibur (Louvre), peinture où l'on retrouve le goût de l'artiste pour les architectures fantastiques ; Le Triomphe de l'Hiver (collection particulière, Paris), d'une série consacrée aux quatre saisons, et qui évoque les fêtes que donnait Catherine de Médicis.
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IZANAGI & IZANAMI
- Écrit par René SIEFFERT
- 2 548 mots
Izanagi, inconsolable, descend dans ces enfers pour en ramener son épouse. Elle lui promet de le suivre, bien qu'elle ait déjà goûté à la nourriture du « foyer des ténèbres », si les dieux de Yomi l'y autorisent et à la condition qu'il ne la regarde pas avant le retour. Comme elle tarde à revenir, Izanagi, d'une dent de son peigne, se fait une torche et entre dans le palais.
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MADJNŪN (VIIe-VIIIe s.)
- Écrit par Sayed Attia ABUL NAGA
- 2 286 mots
Inconsolable, il cesse de manger et de boire, devient squelettique et à moitié fou. Devenue veuve, Laylā le rejoint, mais elle meurt peu de temps après, et Madjnūn ne tarde pas à la suivre. Ainsi, seule la mort unira ces Tristan et Iseult du désert que des préjugés tribaux cruels ont séparés. Une partie des poèmes de Madjnūn que nous possédons sont apocryphes.