Indestructible
- Adjectif singulier invariant en genre
Définition
- qui ne peut être détruit, qui ne semble pas pouvoir être détruit, qui perdure
"indestructible" dans l'encyclopédie
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CARY JOYCE (1888-1957)
- Écrit par Louis BONNEROT
- 1 535 mots
Les convictions fondamentales de Cary vivent en chacun de ses personnages et surtout la valeur de l'imagination créatrice, la liberté étant « la création pleinement réalisée, donc éternelle et indestructible ». Bien entendu, les libertés de chacun s'affrontent, tout comme elles se heurtent aux codes de nos sociétés établies ; cela fournissait à l'univers romanesque de Cary un riche fonds de tragédie et de comédie.
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GOVONI CORRADO (1884-1965)
- Écrit par Germaine LECLERC
- 1 896 mots
Mais progressivement, il contrôle ce flot de matière verbale et, sans l'appauvrir, le purifie, l'endigue (Poesie elettriche, 1911 ; L'Inaugurazione della Primavera, 1915) ; il parvient plus tard, par un jeu très serré de rapports et de transpositions, à un langage surréaliste où l'objet pourtant reste indestructible. Ainsi l'art de Govoni, toujours plus, se change en lui-même.
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CALORIQUE
- Écrit par Georges KAYAS
- 2 065 mots
Thompson (1798) suggère qu'il peut y avoir une relation entre le travail mécanique et la chaleur produite pendant les forages, mais Sadi Carnot, dans ses Réflexions sur la puissance motrice du feu, le considère encore comme un corps indestructible. Ce n'est qu'au milieu du xixe siècle, à la suite des expériences de J. R. Mayer (1842-1845) et de J. B.
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GORDON RUTH (1896-1985)
- Écrit par André-Charles COHEN
- 2 853 mots
Ruth Gordon y incarne une dame également indestructible, à la forme extraordinaire, devenant le « gourou » d'un candidat au suicide. Elle infléchit son interprétation une fois encore vers l'insolite, la malignité quasi diabolique... La comédienne aura été, durant cette très longue carrière, l'image même d'un dilettantisme de bon aloi – luxe suprême du professionnalisme à l'américaine.
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GALLONE CARMINE (1886-1973)
- Écrit par Christian VIVIANI
- 3 158 mots
Indestructible, Gallone allait connaître encore de grands succès populaires après la guerre et même au-delà des frontières transalpines, notamment avec Michel Strogoff (1956) et avec ses deux contributions à la saga de Don Camillo (La Grande Bagarre de Don Camillo, Don Camillo e l'onorevole Peppone, 1955 ; Don Camillo Monseigneur, Don Camillo Monsignore.