Jaque
- Nom masculin singulier
Définition
- en histoire, justaucorps du Moyen Âge
- fruit du jaquier, arbre de la famille des moracées, cultivé dans les régions tropicales
"jaque" dans l'encyclopédie
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JAQUES-DALCROZE ÉMILE (1865-1950)
- Écrit par Michèle GRANDIN
- 1 348 mots
Pédagogue et compositeur suisse, né à Vienne et mort à Genève. Professeur d'harmonie au Conservatoire de Genève en 1892, convaincu de la nécessité de réformer les méthodes habituelles de formation des musiciens professionnels, Émile Jaques-Dalcroze remit en question l'enseignement de l'harmonie et développa un système d'éducation rythmique, appelé eurythmie, dans lequel on utilise les mouvements corporels pour traduire des rythmes musicaux.
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DOM JUAN (mise en scène B. Jaques)
- Écrit par Christian BIET
- 5 515 mots
À travers sa mise en scène d'Elvire Jouvet 40, d'après les carnets de travail de Louis Jouvet, Brigitte Jaques s'était intéressée au Dom Juan de Molière, aux rôles et à la manière de les dire. Cette fois, sans abandonner le travail de l'acteur, elle se tourne aussi vers Le Festin de pierre. C'est en effet, le premier nom de cette comédie, à l'instar des textes qui la précèdent directement dans l'histoire du théâtre (Le Festin de pierre, ou le Fils criminel, de Dorimond, 1659 ; et Le Festin de pierre, ou le Fils criminel, de Villiers, en 1660).
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SAINT-CYR RENÉE (1904-2004)
- Écrit par Encyclopædia Universalis
- 756 mots
En 1943, elle est l'héroïne de Pierre et Jean d'André Cayatte ; elle interprète aussi Maria dans Roses écarlates (1940) de Vittorio de Sica ou s'illustre au côté de Jean-Louis Barrault dans La Symphonie fantastique (1941) de Christian-Jaque. Elle est la mère du cinéaste Georges Lautner, qui l'enrôle à de nombreuses reprises.
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MESTRAL ARMAND (1917-2000)
- Écrit par Encyclopædia Universalis
- 1 117 mots
Il fait ses débuts au cinéma en 1956 en incarnant Lantier dans Gervaise de René Clément ; il figure au générique de La Bande à Bonnot de Philippe Fourastié (1968), de Mon oncle Benjamin d'Édouard Molinaro (1969), de Deux hommes dans la ville de José Giovanni (1973), du Grand Pardon d'Alexandre Arcady (1983) et incarne en 1984 Napoléon III dans L'Homme de Suez, téléfilm de Christian-Jaque.
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BLIER BERNARD (1916-1989)
- Écrit par Raymond CHIRAT
- 3 981 mots
Déjà se profilent Marcel Carné, qui lui confie deux rôles bien écrits dans Hôtel du Nord (1938) et Le jour se lève (1939), et Christian-Jaque (L'Enfer des anges, 1939) dont l'influence dans les années à venir sera déterminante pour lui. Dès son retour de captivité (1941), Bernard Blier retrouve les studios. Ses apparitions courtes, mais bien typées et frottées d'humour, amusent le spectateur et lui permettent de progresser très vite ; il incarne avec délicatesse le fidèle ami de Berlioz dans La Symphonie fantastique de Christian-Jaque (1942).