Jars
- Nom masculin invariant en nombre
Définition
- en zoologie, mâle de l'oie domestique
"jars" dans l'encyclopédie
-
Whiskey in the Jar, THIN LIZZY
- Écrit par Eugène LLEDO
- 2 215 mots
Whiskey in the Jar figure dans la bande originale du film de Lars von Trier Breaking the Waves; signe de filiation, il sera repris par le groupe de heavy metal Metallica.
-
LE MERVEILLEUX VOYAGE DE NILS HOLGERSSON À TRAVERS LA SUÈDE, Selma Lagerlöf Fiche de lecture
- Écrit par Régis BOYER
- 4 188 mots
- 1 média
Accroché au cou du jars domestique qui se joint aux oies sauvages qui entament leur migration, Nils commence son voyage dans les airs : « Le décollage fut si rapide que le garçon en eut le vertige. Et avant même d'avoir l'idée de lâcher le cou du jars, il se trouva si haut que toute chute aurait signifié la mort. Tout ce qu'il pouvait faire pour améliorer sa situation, c'était d'essayer de rejoindre le dos du jars.
-
OIE
- Écrit par Emmanuelle GOIX
- 3 571 mots
L'oie cendrée (Anser anser) est à l'origine de toutes les races d'oies domestiques (une vingtaine) qui se répartissent généralement en deux catégories : les oies grasses, élevées pour leur foie devenu hypertrophié par gavage (oie d'Alsace, grise des Landes ou encore oie de Toulouse dont le jars peut peser jusqu'à 12 kg) et les oies à rôtir (oie de Guinée, oie blanche, oie normande), élevées pour leur viande.
-
CONTES DE MA MÈRE L'OYE
- Écrit par Marc SORIANO
- 4 442 mots
Une analyse interdisciplinaire, à partir de données convergentes, a montré, en 1972, que le titre de Contes de ma mère l'Oye superposé au premier et fort étrange est, en réalité, le plus bref des Contes de Perrault et un épisode de la querelle des Anciens et des Modernes : une croyance populaire prétendait que les oies et les jars mutilaient les petits garçons.
-
MANSART FRANÇOIS (1598-1666)
- Écrit par William Peter Jackson SMITH
- 15 349 mots
Dans ces œuvres, son style devint plus plastique, avec des éléments décoratifs plus simples ( hôtel de Jars et hôtel de Guénégaud des Brosses) ; il montra une grande habileté dans son traitement de sites restreints et dans son adaptation d'éléments déjà existants (hôtel de Guénégaud-Nevers, hôtel de La Bazinière et hôtel de Condé). Pour ces derniers, Mansart créa un type d'escaliers progressivement plus mouvementés et curvilinéaires, évolution qui connaît son aboutissement avec l'escalier de l'hôtel d'Aumont : celui-ci s'amenuise et tourne de telle sorte qu'il revient sur lui-même dans la largeur de la cage.