Jaunâtre

"jaunâtre" dans l'encyclopédie

• FURONCLE

  • Écrit par Jacques BEJOT
  • 2 169 mots
  • 1 média

  Infection d'un follicule pileux et de sa glande sébacée par le staphylocoque doré, qui provoque la suppuration et la nécrose du follicule et du derme avoisinant ; ceux-ci sont éliminés sous forme d'une masse jaunâtre, le bourbillon. Le furoncle se manifeste par l'apparition progressive d'une tuméfaction conique, rouge, chaude et très douloureuse, centrée par un poil ; au sommet de la tuméfaction apparaît une pustule jaunâtre qui va bientôt s'ouvrir, et le bourbillon s'élimine ; la guérison s'obtient au prix d'une cicatrice indélébile.

• OURS DES TROPIQUES

  • Écrit par Marie-Claude BOMSEL
  • 2 403 mots

  L'ours lippu (Melursus ursinus), encore appelé paresseux ou ours à longues lèvres, vivant en Inde et au Sri Lanka, possède un pelage noir très dense et ébouriffé (tout particulièrement au pourtour des oreilles), présentant une marque blanche ou jaunâtre en forme de U au niveau de la gorge, et un long museau flexible. L'ours malais (Helarctos malayanus), encore appelé ours des cocotiers, vivant en Asie du Sud-Est, présente un pelage très ras brun foncé avec une tache pectorale jaunâtre.

• KAÏNITE

  • Écrit par Guy TAMAIN
  • 840 mots

  Sa couleur est blanche, jaunâtre ou grisâtre, quelquefois rouge. Son éclat est vitreux. La dureté est de 2 et la masse volumique de 2,1 g/cm3. Elle fond au chalumeau et elle est facilement soluble dans l'eau. Son goût est amer et salé. Elle est non hygroscopique, ce qui la différencie de la carnalite. Elle est répandue dans les gisements de sel de Stassfurt en association avec la schoenite K2Mg[SO4]2,6 H2O, la carnallite, la kiesérite, la halite.

• GUTTA-PERCHA

  • Écrit par Bernard CARTON
  • 1 062 mots

  Matériau jaunâtre ou brunâtre, ayant l'apparence du cuir, la gutta-percha provient du latex de certains arbres de Malaisie, du Pacifique Sud et d'Amérique du Sud, en particulier Pallaquium oblongifolia et, jadis, P. gutta. Pour recueillir le latex, on abat l'arbre et on découpe des anneaux dans l'écorce ; quand on le cultive en plantations, les feuilles fraîches sont rassemblées, hachées et broyées, mises à bouillir avec de l'eau, et la gomme est séparée et pressée en blocs.

• FAVUS ou TEIGNE FAVIQUE

  • Écrit par Jacques BEJOT
  • 1 106 mots
  • 1 média

  La prolifération et l'agglomération des filaments mycéliens au niveau de l'orifice des follicules pileux entraînent une lésion tout à fait caractéristique : le godet favique, sorte de capsule jaunâtre, molle, occupant l'orifice folliculaire. Le cheveu est également envahi par le mycélium, mais contrairement à ce qui se passe dans les teignes tondantes, il ne casse pas et on n'observe pas de plaques d'alopécie à contours réguliers.