Jonc

"jonc" dans l'encyclopédie

• JONCALES

  • Écrit par Jean RAYNAL
  • 8 678 mots
  • 3 médias

  Le jonc articulé De taille et d'aspect assez variables, le jonc articulé est une herbe vivace. Ses tiges, souvent en touffes, bien que produites par un rhizome grêle, sont faibles, généralement plus ou moins étalées ou même couchées, et ne dépassent pas 80 cm. La tige cylindrique porte quelques feuilles alternes, comprimées latéralement, arquées, creuses à l'intérieur entre des épaississements sclérenchymateux simulant des cloisons transversales (d'où le nom de jonc articulé).

• ARTISANAT DU BRONZE (Gaule préromaine)

  • Écrit par Cécile BRETON
  • 13 497 mots
  • 1 média

  Cette expérience a aussi permis d'estimer le temps de travail nécessaire au façonnage d'un jonc en montrant qu'un recuit de 10 minutes s'impose tous les deux tours environ. Il faut donc environ une douzaine d'heures pour fabriquer un jonc torsadé comportant 80 tours. Les observations métallographiques ont été couplées à des analyses de composition.

• LOIRE, fleuve et bassin

  • Écrit par Yves BABONAUX
  • 6 549 mots
  • 2 médias

  Fleuve français le plus long (1 012 km) et le plus étendu par son bassin (115 120 km2), la Loire prend sa source au mont Gerbier-de-Jonc, aux confins du Vivarais et du Velay, à 1 408 mètres d'altitude. Sollicitée vers le nord par les grandes cassures méridiennes du Massif central, elle débouche en plaine à Roanne (268 m), après un parcours difficile de 285 kilomètres à travers gorges et bassins (défilé d'Arlempdes, bassin du Puy, gorges du Velay, bassin du Forez, seuil de Neulise).

• GROSZ GEORGE (1893-1959)

  • Écrit par Lionel RICHARD
  • 8 771 mots

  Rétif à l'éducation à la prussienne, conduite à « coups de canne de jonc sur l'arrière-train », Grosz se rebelle tôt contre les conventions. Un jour de 1908, giflé par un de ses professeurs, il lui rend la pareille et se voit aussitôt renvoyé du collège de Stolp. L'adolescent persuade sa mère de l'autoriser à passer le concours d'entrée à l'école des Beaux-Arts de Dresde, où il est reçu.

• SIEGFRIED (R. Wagner)

  • Écrit par Timothée PICARD
  • 8 687 mots
  • 2 médias

  Siegfried taille un jonc pour essayer d'imiter son langage, mais son instrument s'avère inefficace. Il s'empare alors de son cor, qui retentit à travers la forêt. Ce son puissant éveille alors le dragon Fafner (basse), qui apparaît à l'entrée de sa caverne. Siegfried l'affronte et lui plonge son épée dans le cœur. Ayant porté à la bouche ses mains pleines du sang du dragon, il comprend soudain le chant de l'oiseau (soprano), qui lui révèle l'existence de l'anneau.