Jordanienne
- Nom féminin singulier
- Adjectif féminin singulier
Définition
Employé comme adjectif
- relative à la Jordanie, état de l'Asie occidentale, à l'est d'Israël
Employé comme nom
- native ou habitante de cette nation
"jordanienne" dans l'encyclopédie
-
AMMAN
- Écrit par Éric VERDEIL
- 4 312 mots
Après l'invasion de ce pays par les troupes américano-britanniques en 2003, une vague massive d'exilés irakiens s'installent plus ou moins durablement dans la capitale jordanienne. Amman compte aujourd'hui, dans son enveloppe municipale élargie en 2006, environ 2,4 millions d'habitants, soit 39 p. 100 de la population jordanienne et 42 p. 100 des emplois.
-
BOSRĀ, anc. BOSTRA
- Écrit par Georges BOHAS
- 1 349 mots
- 1 média
Ville située dans le sud-ouest de la Syrie, à trente kilomètres de la frontière syro-jordanienne. Citadelle déjà importante du royaume nabatéen, Bosrā (Buṣrā) se développe après son rattachement à l'Empire romain (105-106). Elle devient la capitale de la province romaine d'Arabie, et, comme telle, une importante base militaire, sous le nom de Nova Trajana Bostra.
-
HAURAN ou HAOURĀN
- Écrit par Jean-Marc PROST-TOURNIER
- 2 076 mots
Les champs de laves du Ledja et les hauteurs de Kissoué le séparent au nord du bassin de Damas ; il est limité à l'ouest par le mont Hermon et les collines du Golan, à l'est par le djebel Druze et au sud par les gorges du Yarmouk et la frontière jordanienne. Plateau basaltique, légèrement déprimé au centre, il est recouvert de riches terres de décomposition volcanique.
-
LÉGION ARABE
- Écrit par Jean DELMAS
- 2 276 mots
- 2 médias
Mais l'armée jordanienne, son héritière, en a conservé l'uniforme, ainsi que le sens de la discipline et de la fidélité au souverain.
-
ELAZAR DAVID (1925-1976)
- Écrit par Kurt Henri NIEDERMAIER
- 2 965 mots
C'est ainsi que, général commandant du front nord dans la guerre de Six Jours, il fait capituler l'armée jordanienne en Samarie pour diriger, aussitôt après, l'assaut des hauteurs du Golan contre l'armée syrienne. Le 1er janvier 1972, il succède à son ami le général Bar Lev comme neuvième chef d'état-major de l'armée israélienne. Investi de la responsabilité militaire suprême pendant la guerre d'Octobre, il subit des revers initiaux, tout en organisant la contre-offensive qui devait aboutir successivement au retrait syrien sur le plateau du Golan et à la traversée du canal de Suez par l'armée israélienne.