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Kana

  • Nom masculin singulier

Définition

  1. signe syllabique de l'écriture japonaise

"kana" dans l'encyclopédie

  • SEFER HA-BAHIR

    • Écrit par Gabrielle SED-RAJNA
    • 1 957 mots

    Il est attribué à une autorité connue du Talmud, Rabbi Nehunya ben ha-Kana. Sa forme littéraire est celle d'un midraš, ensemble d'exégèses symboliques de passages bibliques attribués à des personnages talmudiques et aussi à des docteurs qui ne sont pas connus par ailleurs. L'état actuel du traité semble confirmer les traditions d'auteurs du xiiie siècle, selon lesquelles l'ouvrage leur est parvenu en manuscrits fragmentaires.

  • KŌETSU HON.AMI (1558-1637)

    • Écrit par Madeleine PAUL-DAVID
    • 6 726 mots

    Son art se signale par un retour aux calligraphies élégantes de l'époque Heian, célèbres par la beauté cursive de leurs kana. Ce retour à la culture traditionnelle prit naissance dans les milieux aristocratiques de Kyōto qui, au cours de cérémonies du thé, avaient pris l'habitude de suspendre dans le tokonoma des fragments (gire) des plus célèbres calligraphes de l'époque Heian.

  • SAYYĀB BADR SHĀKIR AS- (1926-1964)

    • Écrit par Gilles LADKANY
    • 3 655 mots

    Après des poèmes de jeunesse, écrits entre seize et vingt-trois ans, et regroupés après sa mort dans le recueil Iqbāl (1965), Sayyāb étonne le public avec Azhār ḏẖabila (Fleurs fanées) où l'on découvre un poème : « Hal kāna hubban ? » (« Était-ce de l'amour ? »), composé en novembre 1946, qui se caractérise par la suppression des deux hémistiches, la liberté dans le choix des rimes et dans l'utilisation des pieds (tafā'īl), dont le nombre varie d'un vers à l'autre — quoique le poète s'en tienne à l'un des mètres classiques, alors que plus tard il combinera plusieurs mètres dans le même texte.

  • TEKE ROYAUME

    • Écrit par Michel-Marie DUFEIL
    • 4 391 mots

    Une fois installés, les Teke – ou Nzi, comme les appellent les Tswa et les premiers Européens (aNzi-Kana) – développèrent une démographie complexe. L'équilibre qu'ils maintinrent entre chasse et pêche, d'une part, et culture des tubercules, d'autre part, conforta une société composée de lignages, de villages et de nsi (« terres », c'est-à-dire chefferies).

  • JAPON (Arts et culture) La langue

    • Écrit par Bunkichi FUJIMORI
    • 15 205 mots
    • 3 médias

    Plus tard, à partir du ixe siècle surtout, des signes spécifiques, appelés kana, entrèrent dans l'usage. Ces derniers comportent deux séries différentes : les katakana, pour lesquels on retint un fragment de caractère chinois, et les hiragana, résultant d'une écriture cursive du signe d'origine (voir illustration ci-dessous). Dans l'usage actuel, les deux séries de kana (chacune comporte 48 signes, dont 2 sortis de l'usage) coexistent avec les caractères chinois (kanji, au nombre de 1 945 d'après une liste officielle publiée en 1981) dans un système d'écriture dont la complexité est unique au monde : – Les katakana servent surtout à la transcription des mots étrangers.

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