Kobold
- Nom masculin singulier
Définition
- (mot allemand) mot donné à des lutins considérés comme les gardiens des mines, des trésors de la terre
"kobold" dans l'encyclopédie
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PERROT JULES (1810-1892)
- Écrit par Jane PATRIE
- 1 913 mots
Il se produit ensuite sur différentes scènes européennes : à Vienne où il règle sa première chorégraphie, Kobold, à Munich, à Milan et à Naples. De retour à Paris, il présente pour la première fois au public parisien sa protégée : Carlotta Grisi dans Zingaro (1840) ; à Londres, au Her Majesty's Theatre, il réunit les fonctions de danseur, de maître de ballet et de chorégraphe (1841-1848).
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WEINGARTNER FELIX (1863-1942)
- Écrit par Alain PÂRIS
- 4 465 mots
Il a consacré une part importante de sa carrière à la composition et à des écrits sur la musique : sept symphonies, douze opéras dont il est généralement l'auteur des livrets (Genesius, 1892 ; Orestes, 1902 ; Kain und Abel, 1914 ; Dame Kobold, 1916 ; Meister Andrea, 1920), des lieder, des concertos, de la musique de chambre et plusieurs livres (Über das Dirigieren, 1896 ; Die Symphonie nach Beethoven, 1897 ; ainsi que des études sur l'interprétation des symphonies de Beethoven, en 1906, de Schubert, et de Schumann, en 1918, et de Mozart, en 1923).
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COBALT
- Écrit par Jean AMIEL
- 16 323 mots
- 4 médias
Certains le font dériver du mot grec κ́οϐαλος qui signifie mime ou clown, et d'autres du mot allemand Kobold qui désigne un gnome ; en effet, les minerais trop riches en cobalt donnaient par fusion un speiss cassant qu'on ne savait pas traiter autrefois ; les mineurs voyaient là une vengeance d'un génie souterrain. Minerais et métallurgie La croûte terrestre ne renferme que 0,001 % de cobalt.
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MINERAIS
- Écrit par Michel CUNEY
- 20 654 mots
- 8 médias
À partir des années 1730-1750, le développement de la chimie industrielle a permis d’extraire le zinc, le cobalt, le nickel (les noms de ces métaux proviendraient, selon certaines légendes, de ceux des gnomes Nickel et Kobold qui sévissaient dans les mines de Saxe) puis, vers la fin du xviiie siècle, manganèse, molybdène, tungstène, titane, chrome… À partir de 1800, la plupart des autres éléments chimiques ont pu être séparés sous leur forme pure par l'électrolyse.