Kuî
- Nom masculin singulier
Définition
- en linguistique, langue dravidienne parlée en Inde
"kuî" dans l'encyclopédie
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KHOND
- Écrit par Yvan BARBÉ
- 1 790 mots
Dans les plaines de Baudh, certains Khond ne parlent que l'oriya ; dans les jungles écartées, le kuī seul est utilisé. La même gradation se retrouvait dans l'adoption des coutumes hindoues concernant les castes et l'intouchabilité ainsi que dans la connaissance des divinités hindoues.
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SONG DU NORD (960-1126) & SONG DU SUD (1127-1279), dynasties chinoises
- Écrit par Pierre-Étienne WILL
- 4 103 mots
- 3 médias
Si l'irrédentisme anti-Jin domine d'abord, les difficultés et le coût de la guerre sont tels que le « parti de la paix » dirigé par le ministre Qin Kui s'impose bientôt. Un traité est conclu avec les Jin, mais cette paix chèrement acquise et considérée comme honteuse par la tradition sera maintes fois brisée : en fait la Chine des Song du Sud est en état de guerre plus ou moins permanent.
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LÉGISTES ÉCOLE DES
- Écrit par Léon VANDERMEERSCH
- 12 335 mots
Pour le plus grand succès des armes de Wei, Li Kui associe à son gouvernement le grand stratège Wu Qi, qui par la suite, évincé par des calomniateurs, ira entreprendre au pays de Chu de semblables réformes ; en 381 une réaction féodale lui fera payer cette tentative de sa vie. Les légistes Après ces précurseurs, quatre grandes figures de l'histoire politique chinoise vont donner au légisme sa forme achevée, en pratique et en doctrine.
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DONG YUAN [TONG YUAN] (mort en 962) & JURAN [KIU-JAN] (actif vers 975)
- Écrit par Ching-lang HOU
- 6 625 mots
Il a aussi représenté des sujets fantastiques : dragons, Immortels, Zhong Kui le dompteur de démons. Une anecdote rapporte que le Premier ministre ressentit un jour une vive émotion à la vue d'une Immortelle que Dong Yuan avait représentée sur un paravent à l'entrée des appartements de l'empereur ; la prenant pour une courtisane qui attendait la visite impériale, il n'osa pas pénétrer dans la pièce.
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DING YANYONG [TING YEN-YONG] (1904-1978)
- Écrit par Pierre RYCKMANS
- 7 853 mots
Ses audaces formelles pourraient trouver un écho dans certaines audaces japonaises : on pense en particulier à Tomioka Tessai ; mais, s'il fallait comparer Ding et Tessai (et une peinture comme son savoureux Zhong Kui suggère tout naturellement le rapprochement), c'est à l'avantage de Ding que tournerait finalement la comparaison (ce qui n'est pas peu dire, si l'on songe que Tessai reste pour les Japonais un de leurs plus grands peintres modernes), car, à vitalité égale, la peinture de Ding, même au plus débridé de son improvisation, reste toujours soutenue par une rigoureuse discipline du pinceau, tandis que cette ossature technique fait cruellement défaut chez le maître japonais.