Kung-fu
- Nom masculin singulier
Définition
- en sports, art martial chinois, proche du karaté japonais
"kung-fu" dans l'encyclopédie
-
CARRADINE DAVID (1936-2009)
- Écrit par Encyclopædia Universalis
- 1 076 mots
Acteur américain, David Carradine est d'abord connu pour le portrait emblématique d'un moine du temple de Shaolin qu'il a brossé dans le feuilleton télévisé Kung Fu (1972-1975). Né le 8 décembre 1936 à Hollywood, John Arthur Carradine étudie la musique et gagne sa vie en travaillant comme peintre avant de marcher sur les traces de son père, John Carradine, et de devenir comédien.
-
HONG KONG CINÉMA DE
- Écrit par Adrien GOMBEAUD et Charles TESSON
- 16 231 mots
- 1 média
Stephen Chow, acteur et réalisateur, impulse un second souffle à la comédie kung-fu : Shaolin Soccer (2001), puis Crazy Kung-Fu (2004) propulsent le genre dans la sphère du cartoon grâce à l’intervention du numérique. Le millénaire a aussi vu émerger de nouveaux talents comme Pang Ho-cheung dont les comédies insolentes (Men Suddenly in Black, 2004 ; A.
-
THE GRANDMASTER (Wong Kar-Wai)
- Écrit par Pierre GRAS
- 4 884 mots
- 1 média
La référence très marquée au genre a priori codé du film de kung-fu, avec ses séquences de combat obligées, pouvait laisser penser que le cinéaste allait juxtaposer une dimension virtuose et une dimension mentale. En réalité, The Grandmaster a désorienté une partie des spectateurs en faisant de la remémoration de son personnage principal le centre de l’œuvre.
-
IL ÉTAIT UNE FOIS EN CHINE, film de Tsui Hark
- Écrit par Laurent JULLIER
- 4 829 mots
Malheur, donc, au « diable roux » de spectateur qui ignore tout du mouvement des Yihetuan (« milices de justice » à l'origine de la guerre des Boxers), et des différences qui séparent bataillons de police, triades et écoles de kung fu : il sera comme ces soldats français dépassés qui tirent au début du film sur un dragon en confondant le bruit des pétards avec celui des mitraillettes.
-
BIG BOSS, film de Wei Lo
- Écrit par Laurent JULLIER
- 5 086 mots
Le gentil Cheng Chao-an est aussi timide avec les filles que le plus fort au kung-fu ; le vilain Hsiao Mi, dont chaque apparition est ponctuée par des accords dissonants, est fourbe, pervers et suffisamment maladroit pour se faire prendre à la fin. Le temps d'une séquence « érotique » droit sortie d'un nudie des années 1960, il y a aussi la prostituée-au-bon-fond – ce n'est pas de sa faute si elle fait ce métier, mais celle de Hsiao Mi.