Lé
- Nom masculin singulier
Définition
- largeur d'une étoffe entre deux lisières
- largeur d'un chemin de halage
"lé" dans l'encyclopédie
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TONTISSE, papier de tenture
- Écrit par Jean-Pierre SEGUIN
- 1 624 mots
Pour autant, les tontisses n'ont jamais été abandonnées ; elles font bon voisinage, sur un même lé, avec des impressions à la détrempe, et elles demeurent la meilleure imitation possible des étoffes les plus riches.
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ROZANOVA OLGA VLADIMIROVNA (1886-1918)
- Écrit par Cécile GODEFROY
- 2 328 mots
des gros mots, 1913 ; Té-li-lé, 1914 ; Le Livre Zaoum, 1915 ; La Guerre, 1916). Telle une partition colorée, l'illustration de Rozanova fait écho aux mots, donnant naissance à une chromopoésie originale. L'artiste prépare également quelques essais théoriques et compose des vers dans le style transmental (zaoum). Ses premières peintures relèvent du style néo-primitiviste russe.
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BERG PAUL (1926-2023)
- Écrit par Georges BRAM et Encyclopædia Universalis
- 3 131 mots
Paul Berg est lé le 30 juin 1926 à Brooklyn (New York) dans une famille juive russe émigrée aux États-Unis. Son père était tailleur. Il obtient un diplôme de bachelor en biochimie (1948) à la Pennsylvania State College (auj. Pennylvania State university) et un doctorat en biochimie (1952) à la Western Reserve University (auj. Case Western University) à Cleveland (Ohio).
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REIGL JUDIT (1923-2020)
- Écrit par Camille VIÉVILLE
- 4 757 mots
Dans des images tournées en 2010, il faut la voir, âgée de quatre-vingt-sept ans, à quatre pattes, le corps penché sur un grand lé de papier blanc, un chiffon imbibé d’encre de Chine noire à la main, entreprendre une chorégraphie aérienne pour tracer sur le support des volutes gorgées d’une énergie juvénile. Elle qui n’avait cessé d’être ballottée dans son enfance et sa jeunesse d’une maison à l’autre, d’une ville à l’autre, d’un pays à l’autre, s’était établie définitivement à Marcoussis (Essonne) en 1963 où elle vécut dans « un calme plat mais plein ».
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ORTHOGRAPHE
- Écrit par Liselotte BIEDERMANN-PASQUES et Fabrice JEJCIC
- 25 395 mots
- 1 média
Dans cette position le E tend à se fermer et est noté par un accent aigu, par exemple, thé, ca-fé, é-lé-phant. c) Changement de la nature de la syllabe et changement d'accentuation de la voyelle : événement, évèn(e)ment en orthographe rectifiée. L'emploi de l'accent aigu sur le é de la deuxième syllabe (ouverte, avec une voyelle fermée) dans la graphie traditionnelle événement s'expliquait par la prononciation de e caduc dans la troisième syllabe /evenəmã)/.