Labelle
- Nom masculin singulier
Définition
- pétale supérieur agrandi et contourné de la corolle des orchidées
"labelle" dans l'encyclopédie
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STAMINODE
- Écrit par Jacques DAUTA
- 725 mots
La fleur des cannas ne possède qu'une demi-étamine produisant du pollen ; l'autre moitié de cette étamine, ainsi que les cinq autres, sont transformées en staminodes, pièces rouges stériles que l'on prendrait à première vue pour les pétales ; les pétales proprement dits sont très réduits, les sépales aussi ; l'un des staminodes est même transformé en « labelle », accentuant la forte zygomorphie de cette fleur, très adaptée à la fécondation par les insectes.
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ORCHIDALES
- Écrit par Marcel LECOUFLE et Georges MANGENOT
- 26 843 mots
- 8 médias
Les dissemblances affectent surtout le verticille interne, dont la pièce antérieure (labelle), plus petite ou plus grande que les autres pièces florales, se distingue par une multitude de caractères : le labelle est entier, lobé ou déchiqueté, parfois très finement, mince ou épais, étalé ou enroulé, glabre ou velu, ou verruqueux, ou marqué de crêtes, d'une teinte uniforme ou panaché, pourvu ou non, à sa base, d'un cornet nectarifère (éperon) parfois très long.
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BOURASSA HENRI (1868-1952)
- Écrit par Roger DUHAMEL
- 3 310 mots
À l'âge de vingt-deux ans, il est élu maire de son village de Montebello, où sa famille possède la seigneurie de la Petite-Nation ; il siège ensuite au Parlement canadien, à Ottawa, comme député de Labelle, de 1896 à 1907. Libéral, disciple de sir Wilfrid Laurier, il ne tarde pas à prendre ses distances vis-à-vis du pouvoir et à s'orienter vers le nationalisme.
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DOO-WOP
- Écrit par Frederick Dennis GREENE et Encyclopædia Universalis
- 5 054 mots
Il existe également une école de doo-wop féminin, représentée par les Chantels, les Shirelles ainsi que Patti LaBelle et les Bluebelles. La popularité du doo-wop parmi les adolescents noirs des ghettos des centres-villes de l'Amérique des années 1950, à New York, Chicago ou Baltimore, est due en grande partie au fait que cette musique se joue a cappella.
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L'IDIOTIE (J.-Y. Jouannais)
- Écrit par Hervé GAUVILLE
- 5 066 mots
Il manifeste d'abord son idiotie en articulant cette notion avec celle d'art moderne, la modernité étant entendue en un sens historiquement large, qui annexe aussi bien les Incohérents du xixe siècle que les dadaïstes au début du siècle suivant, ou quelques artistes contemporains, tels Arnaud Labelle-Rojoux, Maurizio Cattelan ou Martin Kippenberger.