Laisser-sur-place

"laisser-sur-place" dans l'encyclopédie

• BALAGUER JOAQUÍN (1907-2002)

  • Écrit par Encyclopædia Universalis
  • 938 mots

  Un tollé national et international l'oblige à laisser la place en 1996. Il retente pourtant sa chance aux élections de 2000. Même exclu par les urnes, il continue d'arbitrer par ses réseaux la politique du pays, jusqu'à sa mort.

• DIVAN ou DĪWĀN

  • Écrit par Robert MANTRAN
  • 1 263 mots

  Le système des divans a graduellement disparu à partir du xviiie siècle pour laisser la place à des conseils spécialisés, puis à des ministères.

• KUERTEN GUSTAVO (1976- )

  • Écrit par Pierre LAGRUE
  • 1 254 mots

  Mais il doit laisser la place de numéro un mondial au jeune Australien Lleyton Hewitt, vainqueur de l'Open des États-Unis et du Masters. Par la suite, Gustavo Kuerten ne remporte aucune victoire importante. En mai 2008, il met officiellement un terme à sa carrière, sur le court central de Roland-Garros, où le public lui réserve un vibrant hommage à l’issue de sa défaite au premier tour face au Français Paul-Henri Mathieu.

• VENDÉMIAIRE AN IV JOURNÉE DU 13 (1795)

  • Écrit par Jean TULARD
  • 2 427 mots

  Après avoir rédigé la Constitution dite de l'an III, la Convention aurait dû se séparer et laisser la place aux nouveaux députés. Inquiète de la poussée royaliste qui risque de se traduire par des élections trop réactionnaires, elle décide par le décret du 22 août 1795 que, pour assurer la transition et éviter l'erreur qu'avaient commise les membres de l'Assemblée constituante en se déclarant inéligibles, les deux tiers des premiers membres du conseil des Anciens et du conseil des Cinq-Cents, seraient choisis parmi les conventionnels sortants.

• ROSAS JUAN MANUEL DE (1793-1877)

  • Écrit par Encyclopædia Universalis
  • 2 033 mots

  Bien qu'il soit autorisé à rester au pouvoir après son premier mandat de trois ans, il décide de laisser la place à son successeur légal mais reprend ses fonctions de gouverneur en 1835. Il n'accepte de revenir à ce poste qu'à la seule condition de recevoir des pouvoirs dictatoriaux. Rosas instaure ainsi pendant dix-sept ans une dictature qui se prétend fédéraliste, mais est, en réalité, dotée d'un régime centralisé et tyrannique.