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Lamier

  • Nom masculin singulier

Définition

  1. en technologie, plante de la famille des labiées, qui croît dans les champs et dans les bois

"lamier" dans l'encyclopédie

  • STOLON

    • Écrit par Jacques DAUTA
    • 1 016 mots
    • 1 média

    Certains botanistes appellent par extension stolons les organes plus proprement désignés par « tiges radicantes », qui sont des rameaux rampants s'enracinant de place en place, mais sans séparation avec la plante mère : cas des ronces (bien connu !), des forsythias, de l'herbe-aux-écus ou lysimaque nummulaire, du lamier jaune, réalisant une sorte de marcottage naturel.

  • ZYGOMORPHIE

    • Écrit par Jacques DAUTA
    • 1 205 mots

    Ce plan de symétrie bilatérale peut contenir l'axe de l'inflorescence : la moitié droite de la fleur est symétrique de la moitié gauche (zygomorphie médiane ; exemples : le pois, la violette, le lamier). Ou bien le plan de symétrie est orthogonal au plan défini par l'axe de l'inflorescence et par le pédoncule (zygomorphie transversale ; exemple : la fumeterre).

  • LABIÉES

    • Écrit par Gérard AYMONIN
    • 7 589 mots
    • 3 médias

    Différant un peu du lamier blanc, type structural classiquement étudié, la sauge (Salvia pratensis) est particulièrement intéressante par sa morphologie florale. Comme chez presque toutes les Labiées, les tiges ont une section carrée dont les angles épaissis sont formés de cellules collenchymateuses. Les nœuds de la tige, très visibles, portent des feuilles régulièrement opposées et décussées (c'est-à-dire que chaque paire est décentrée à 900 par rapport à celle qui la précède ou la suit) qui peuvent axiller des bourgeons qui développeront latéralement, au niveau des nœuds, de petites touffes de feuilles ou des ramifications.

  • HÊTRAIES

    • Écrit par Marcel BOURNÉRIAS
    • 13 715 mots
    • 6 médias

    ) ; – l'Asperulo-Fagion, sur sols bruns non ou modérément acides, à humus doux, où abondent Asperula odorata, la fougère femelle, Oxalis acetosella, le millet, le lamier jaune, souvent les ronces ; – le Luzulo-Fagion, sur sol très acide, podzolique, à humus de type moder, parfaitement typique dans l'Ardenne et souvent dans le Morvan, plus rare aux points les plus arrosés proches de la Manche ; le sous-bois renferme nombre d'espèces montagnardes acidophiles : Luzula albida, L.

  • CHÊNAIES

    • Écrit par Marcel BOURNÉRIAS
    • 20 209 mots
    • 3 médias

    Viennent enfin les chênaies pédonculées des sols frais ou secs, toujours mêlées de frênes, de hêtres et de charmes ; le tapis herbacé renferme de façon constante des plantes d'humus doux (anémone sylvie, lamier jaune, Carex silvatica et souvent l'aspérule odorante...) ; traitées en futaie, elles donnent des hêtraies, au même tapis herbacé. Selon les conditions édaphiques, elles revêtent deux aspects distincts : – les chênaies-charmaies sur sol brun non ou peu calcaire, frais, sablo-argileux renferment en abondance le charme ; on y trouve des plantes herbacées de sols frais : ficaire, lychnis des bois, Primula elatior.

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