Landais

"landais" dans l'encyclopédie

• DARRIGADE ANDRÉ (1929- )

  • Écrit par Pierre LAGRUE
  • 1 152 mots

  Le Landais se classe deuxième de l'épreuve en 1960, derrière le Belge Rik Van Looy.

• BENOIT PIERRE (1886-1962)

  • Écrit par Antoine COMPAGNON
  • 1 950 mots

  D'ailleurs ce Landais a, dans cette même perspective, écrit plusieurs romans sur sa région, Pour Don Carlos (1919), dans le Pays basque, L'Île verte (1932), dans la Gironde. Ce n'est sans doute pas l'aspect roman de voyages de cette œuvre que l'on pourrait contester, mais l'extrême conformisme des intrigues qui s'y déroulent. Ainsi fait-on remarquer que tous ses romans ont le même nombre de pages, que toutes ses héroïnes ont un prénom dont l'initiale est un A, que parmi son abondante production un seul de ses livres ne met pas aux prises un homme et une femme, mais deux femmes.

• PONEY

  • Écrit par Marie-Claude BOMSEL
  • 2 027 mots

  Les principales races sont : – le shetland (originaire d'Écosse), qui tractait au xixe siècle les wagonnets de charbon dans les mines britanniques en raison de sa robustesse et de sa petite taille, et qui est aujourd'hui particulièrement adapté aux enfants qui veulent s'initier à l'équitation ; – le pottock, qui vit encore en liberté dans les montagnes du Pays basque et qui accepte facilement l'attelage ; – le landais, bon trotteur ; – le mérens (originaire des montagnes ariégeoises), qui est encore utilisé pour les travaux agricoles ; – le haflinger (originaire d'Autriche) qui est recherché pour sa beauté ; – le connemara (originaire d'Irlande) utilisé en compétition.

• 1961 48^e Tour de France

  • Écrit par Pierre LAGRUE
  • 2 517 mots

  La première étape est divisée en deux tronçons : le Landais André Darrigade remporte le premier (Rouen-Versailles, 136,5 km) ; Jacques Anquetil, le second (un circuit de 28,5 km contre la montre autour de Versailles) ; au soir de la première étape, il porte déjà le maillot jaune. Dès lors, les Tricolores verrouillent la course : toute échappée est contrôlée.

• DUCASSE ALAIN (1956- )

  • Écrit par Jean-Claude RIBAUT
  • 7 712 mots
  • 1 média

  À seize ans, il entre en apprentissage au Pavillon Landais à Soustons, puis au lycée hôtelier de Talence (Gironde) qu'il quittera sur un coup de tête, peu avant le diplôme. En 1975, l'un des chefs de file de la nouvelle cuisine, Michel Guérard, qui vient de s'installer à Eugénie-les-Bains, l'accueille pendant deux années, entrecoupées de stages chez le pâtissier Gaston Lenôtre.