Lectorat

"lectorat" dans l'encyclopédie

• PRESSE La presse et ses lecteurs

  • Écrit par Julien DUVAL
  • 29 787 mots

  ) qui seraient garants de la continuité du titre et du lectorat. Les transformations du lectorat Le marketing se développe dans une période où le lectorat paraît plus difficile à conquérir et à conserver. L'allongement de la scolarité qui a touché les catégories de la population n'a pas eu pour conséquence, comme on aurait pu s'y attendre, un accroissement de la proportion de gros lecteurs.

• DIARIO 16

  • Écrit par Christine LETEINTURIER
  • 810 mots

  Son lectorat, plutôt jeune, apprécie sa présentation de l'information très variée et facile d'accès, accordant une large place au débat d'idées. En 1994, sous la pression des créanciers, le capital de Grupo 16 change de main. Diario 16, objet en 1990 d'une cession qui donna naissance à un autre quotidien, El Mundo, a cessé de paraître en 2001.

• NATURE LA, revue

  • Écrit par Gabriel GACHELIN
  • 4 230 mots
  • 1 média

  Le contenu est « vulgarisé » et remplit bien sa fonction d’interface entre un lectorat de journaux et le monde des sciences et des techniques. Chaque livraison comprend une trentaine d’articles. Les sujets généraux sont suivis de textes plus courts, les chroniques. On reconnaît là une organisation qui existe encore dans de nombreux journaux scientifiques et de vulgarisation.

• PARISIEN LE

  • Écrit par Christine LETEINTURIER
  • 4 504 mots

  Si le quotidien résiste mieux que certains de ses concurrents à l’érosion de son lectorat, sa situation économique reste fragile. En 2010, la direction du groupe laisse entendre qu’elle serait favorable à l’arrivée de nouveaux investisseurs. Serge Dassault, propriétaire du Figaro, manifeste son intérêt, mais finalement la décision de vendre est différée.

• DIME NOVEL, littérature

  • Écrit par Véronique KLAUBER
  • 1 612 mots

  Moralité, patriotisme, larmes et violence attirent aussi bien le lectorat féminin que le soldat de la guerre de Sécession, grand lecteur de dime novel, car la diffusion était particulièrement bien organisée dans l'armée. Les tirages variaient entre 35 000 et 80 000 exemplaires. Seule l'apparition de nouvelles collections à bon marché réussit à évincer les éditions de Beadle en 1875, alors que les critiques du clergé, des instituteurs ou des juges n'entamaient en rien la popularité de ces westerns, histoires d'amour ou épopées de mauvais garçon.