Leva
- Nom masculin pluriel
- Verbe à l'indicatif passé 3e personne du singulier
Définition
- unités monétaires principales de la Bulgarie
Forme dérivée du verbe « lever »
"leva" dans l'encyclopédie
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HERRERA Y REISSIG JULIO (1873-1910)
- Écrit par Daniel DEVOTO
- 1 012 mots
L'étude chronologique des textes leva cependant l'accusation, et l'on doit conclure aux affinités naturelles de deux poètes partis des mêmes courants poétiques. L'œuvre de Herrera fait souvent preuve d'une étrange nouveauté : on retrouve chez lui des critères assez semblables à ceux qui déterminèrent les surréalistes à revendiquer Jarry.
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MORGARTEN BATAILLE DE (15 nov. 1315)
- Écrit par Encyclopædia Universalis
- 1 225 mots
Il leva une armée de chevaliers afin d'envahir Schwyz à partir de Zoug, en longeant le lac d'Ägeri par le col de Morgarten. Mais les hommes de Schwyz, aidés de confédérés venus d'Uri, étaient en embuscade près de la rive. Armés de longues piques de bois, ils attaquèrent les Autrichiens avant qu'ils ne soient sortis du défilé, repoussèrent les chevaliers dans le lac, tuant mille cinq cents hommes et mettant en fuite les autres.
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SUCKLING JOHN (1609-1642)
- Écrit par Encyclopædia Universalis
- 1 513 mots
Lorsque la guerre contre l'Écosse éclata, en 1639, Suckling leva à ses frais une troupe de cavaliers et accompagna Charles Ier dans sa désastreuse expédition. Les costumes magnifiques et tapageurs de ses soldats ainsi que leur piteux comportement sur le champ de bataille devinrent la risée de ses contemporains. En 1641, Suckling participa activement au complot ourdi pour tirer le comte de Strafford de la Tour de Londres.
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EFFI BRIEST, Theodor Fontane Fiche de lecture
- Écrit par Christian HELMREICH
- 5 511 mots
Tout doucement, elle se leva de son siège et sortit. Cependant, à peine fut-elle partie qu'Effi se leva à son tour et s'assit à la fenêtre ouverte pour respirer encore une fois à plein poumons l'air frais de la nuit. Les étoiles scintillaient : dans le parc, aucune feuille ne bougeait. Mais plus elle prêtait l'oreille, et plus nette lui semblait cette fine musique de la bruine perlant sur les platanes.
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ARNAUD DE BRESCIA (1090 env.-1155)
- Écrit par Gilbert GIANNONI
- 5 413 mots
- 1 média
Le pape leva l'anathème et alla au Latran triomphalement. Pendant ce temps, Frédéric semait la terreur en Italie. Adrien lui demanda de livrer Arnaud aux cardinaux puis au préfet Pierre, qui agit officieusement. Comme on ne voulait pas prendre le risque de voir Arnaud libéré par le peuple, on le pendit au château Saint-Ange avant de le brûler et de jeter ses cendres dans le Tibre (afin qu'on ne puisse en faire des reliques).