Ligaturé
- Adjectif masculin singulier
- Verbe au participe passé masculin singulier
Définition
- auquel on a appliqué une ligature
Forme dérivée du verbe « ligaturer »
"ligaturé" dans l'encyclopédie
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TRAITÉ DE CHIRURGIE (A. Paré)
- Écrit par Gabriel GACHELIN
- 1 836 mots
- 1 média
Bien au-delà de descriptions connues comme celle de la ligature des vaisseaux sanguins, ou celle d'instruments tels que le bistouri, ce livre doit être retenu comme le premier, ou l'un des premiers, traités de chirurgie pratique.
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DUPUYTREN GUILLAUME (1777-1835)
- Écrit par Encyclopædia Universalis
- 1 200 mots
Entre autres succès, dont certains portent son nom, citons la ligature de l'artère sous-clavière (1812 et 1829). Il proposa encore un traitement des anévrismes par compression (1818) et un traitement chirurgical du torticolis (1822).
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CARDIO-VASCULAIRE CHIRURGIE (repères chronologiques)
- Écrit par Christian CABROL
- 1 673 mots
Gross : ligature du canal artériel. 1944 C. Craaford : résection de la coarctation aortique. 1945 A. Blalock et H. Taussig : shunt sous-clavier pour tétralogie de Fallot. 1947 R. Dos Santos : endartériectomie. 1949 C. Bailey, D. Harken et R. Brock : commissurotomie mitrale à cœur fermé. 1949 J. Kunlin : pontage veineux artériel à la cuisse. 1951 J.
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PARÉ AMBROISE (1510 env.-1590)
- Écrit par Jacqueline BROSSOLLET
- 6 421 mots
- 2 médias
À l'avènement de Henri III il demeure premier chirurgien du roy, mais ne voyage plus ; il défend ses méthodes nouvelles (ligature des artères, traitement des plaies sans huile bouillante, simplification du traitement des luxations et des trépanations), et rédige un Traicté de la peste, de la petite vérolle et rougeolle (1568), ouvrage dans lequel il insiste sur la notion de contagion.
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FASTES & NÉFASTES JOURS
- Écrit par Jean-Claude DUMONT
- 2 312 mots
La deuxième catégorie regroupe les jours simplement néfastes (N) et les jours dits NP (ligature de N et de P, où N signifie également néfaste et P demeure inexpliqué) : ce sont les festi dies qu'occupent les cérémonies religieuses fixes (feriae stativae), lorsque les fêtes mobiles (feriae conceptivae) tombent des jours fastes ou comitiaux, ceux-ci deviennent également néfastes.