Lilium
- Nom masculin singulier
Définition
- en botanique, nom scientifique du lis
"lilium" dans l'encyclopédie
-
ABEILLES IMPÉRIALES
- Écrit par Hervé PINOTEAU
- 2 377 mots
, Anvers, 1655 ; Lilium francicum veritate historica..., Anvers, 1658). Louis XII avait utilisé une ruche bourdonnante comme corps de sa devise, mais la Convention nationale repoussa cet emblème pour la République, les abeilles ayant une reine. Dans son désir de remonter aux sources carolingiennes et même mérovingiennes et de « sauter » ainsi par-dessus les Capétiens, Napoléon Ier cherche de nouveaux symboles en 1804.
-
LILIALES
- Écrit par André LAWALRÉE
- 15 578 mots
- 8 médias
Un exemple : le lis blanc Cultivé et représenté par les artistes depuis plus de 3 000 ans, le lis blanc (Lilium candidum) est originaire de la Grèce, de l'Asie Mineure, du Liban et du nord de la Galilée. Cette plante entièrement glabre possède un gros bulbe souterrain vivace ovoïde, aux nombreuses écailles ovales appliquées les unes contre les autres.
-
NOMENCLATURE BOTANIQUE RÈGLES INTERNATIONALES DE
- Écrit par Jean-Marie PRUVOST-BEAURAIN
- 54 191 mots
- 6 médias
lobelianum ‘Bergfürst’, Camellia ‘Shōjō-no-mai’, Crocus chrysanthus ‘Eye-catcher’, Lilium ×maculatum ‘Sanguineum’, Malus domestica ‘Beauty of Bath’, Rosa ‘Pompon de Paris’, ×Triticale ‘Siskiyou’. Une épithète de cultivar doit être formée en respectant certaines règles telles que : ne pas être un simple mot descriptif (comme « blanche » ou « large ») ; depuis le 1er janvier 1959, être en une langue moderne et non en latin (sauf exceptions : sont acceptés, les épithètes spécifiques ou infraspécifiques lorsqu'une espèce ou un taxon infraspécifique est reclassifié en cultivar, et les noms latins ou de forme latine dont on peut démontrer qu'ils sont courants en une langue moderne, comme des termes, parties de phrases, noms de personnes ou de lieux tels que « campus », « noli me tangere », « Cicero », « Museum d'Orsay »), ne pas être un nom botanique, commun ou vernaculaire d'un quelconque genre ou nothogenre ou d'une quelconque espèce ou nothoespèce, ne pas contenir les mots « variété » ou « forme » ou leurs équivalents en d'autres langues, ne pas exagérer les mérites du cultivar ; depuis le 1er janvier 1996, ne pas dépasser trente lettres ou caractères (espaces et signes de démarcation exclus), ne pas être si proche d'une épithète existant déjà dans le taxon auquel il appartient qu'une confusion serait possible, ne pas contenir de mots tels que « cultivar », « grex », « groupe », « hybride », « sélection », « série », « sport » ; depuis le 1er janvier 2004, ne pas consister uniquement en une lettre ou en un nombre écrit en chiffres arabes ou romains ; etc.