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Limpidité

  • Nom féminin singulier

Définition

  1. caractère de ce qui est limpide, clair

"limpidité" dans l'encyclopédie

  • PEYNAUD ÉMILE (1912-2004)

    • Écrit par Encyclopædia Universalis
    • 883 mots

    Il soutient sa thèse en 1946 et rejoint ensuite à l'université de Bordeaux Jean Ribéreau-Gayon (auteur du Traité d'œnologie, 1947) avec lequel il travaille sur la biochimie des fermentations, la notion de transformation bactérienne ou encore les techniques de la conservation du vin et de stabilisation de la limpidité. Professeur à la faculté d'œnologie de Bordeaux jusqu'en 1977, Émile Peynaud fut aussi conseiller pour plus de deux cents domaines du Bordelais (château-margaux, château léoville-las cases…), acquérant à travers le monde la réputation de père de l'œnologie moderne.

  • ANVARĪ AVḤAD AL-DĪN MUḤAMMAD (1125?-1189 ou 1191)

    • Écrit par Michèle ÉPINETTE
    • 992 mots

    Sa poésie est d'une grande limpidité et d'une grande élégance, que rendent parfois difficiles certaines finesses de style.

  • VÁZQUEZ JUAN (1510 env.-env. 1560)

    • Écrit par Pierre-Paul LACAS
    • 933 mots

    En raison de sa grâce et de sa limpidité, sa musique fut fort goûtée ; on en transcrivit beaucoup pour voix et vihuela (recueils de Alonso Mudarra, 1546, et de Enríquez de Valderrábano, 1547). En revanche, dans l'Agenda defunctorum à quatre voix (Séville, 1556), il s'en tient au plain-chant et à un contre point traditionnel quelque peu sévère.

  • LYSIAS (440 av. J.-C.?-? 380 av. J.-C.)

    • Écrit par Encyclopædia Universalis
    • 1 595 mots

    La prose de Lysias, renommée pour son charme et pour sa limpidité, devint le modèle de la prose attique. Fils d'un Grec de la colonie sicilienne de Syracuse qui s'était établi à Athènes, Lysias avait étudié la rhétorique en Italie, mais il revint à Athènes en 412. Il est possible qu'il y ait alors enseigné la rhétorique. En 404, Lysias fut arrêté, mais il se réfugia à Mégare d'où il défendit la cause des démocrates athéniens exilés.

  • LIADOV ANATOLI KONSTANTINOVITCH (1855-1914)

    • Écrit par Michel-Rostislav HOFMANN
    • 1 562 mots

    Plus tard, il s'orienta vers la musique symphonique : une symphonie en si mineur affirma son talent et précéda des poèmes symphoniques comme Baba-Yaga, Kikimora, Le Lac enchanté (une musique délicatement impressionniste d'une limpidité féerique), un très beau Fragment tiré de l'Apocalypse. Rimski-Korsakov disait que « chaque composition de Liadov est un précieux bijou, une pièce d'orfèvrerie musicale ».

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