Linaire
- Nom féminin singulier
Définition
- en botanique, plante herbacée de la famille des scrofulariacées, comprenant la ruine-de-Rome
"linaire" dans l'encyclopédie
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LINNÉ CARL VON (1707-1778)
- Écrit par Georges GUSDORF
- 13 418 mots
- 1 média
Seulement un monstre ne saurait se reproduire ; or en 1744, Linné constate que la Peloria, une « monstruosité » de la Linaire, se reproduit. « Une conclusion stupéfiante s'impose, écrit-il, à savoir que de nouvelles espèces peuvent surgir dans le règne végétal [...]. Il y a là [...] de quoi faire sauter les classes naturelles des plantes. » Il faut donc admettre une certaine plasticité des espèces.
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RHÉOLOGIE
- Écrit par Bernard PERSOZ et Dragos RADENKOVIC
- 20 495 mots
- 11 médias
L'écoulement ne se produit qu'à partir d'un certain seuil s bien défini, et il est ensuite linaire :le modèle correspondant est représenté sur la figure. Les associations plus compliquées de patins et d'amortisseurs sont susceptibles de reproduire tous les écoulements dépourvus d'hystérésis de vitesse de déformation (la courbe de retour coïncide avec celle d'aller dans le diagramme σ-˙ε) et dont la viscosité apparente diminue avec la contrainte.
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FRUITS
- Écrit par Jean-Luc REGNARD, Roger ULRICH et Encyclopædia Universalis
- 43 793 mots
- 13 médias
Quelques plantes enfouissent leurs fruits (arachide, linaire cymbalaire). Les fruits charnus et les fruits secs à graine unique sont généralement indéhiscents. La déhiscence comporte un très grand nombre de modalités : ouverture au niveau d'un couvercle (mouron rouge), de pores (pavot, campanule), de fentes transversales ou longitudinales, celles-ci pouvant être de longueur limitée (dents, fruits de Lychnis) ou très longues ; dans ce dernier cas, on peut observer une fente (follicules de pivoine), deux fentes (gousse de Vicia), trois (violette), quatre (silique des crucifères), ou six fentes (Orchis).
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DÉVELOPPEMENT, biologie
- Écrit par Georges DUCREUX, Hervé LE GUYADER et Jean-Claude ROLAND
- 105 738 mots
- 14 médias
majus, la multiplication végétative est aisée, les grandes fleurs faciles à manipuler ; de plus, des éléments génétiques transposables facilitent l'exploration du génome ; enfin, elle appartient à la famille des Scrofulariacées dont les mutations homéotiques sont connues depuis longtemps : la Peloria que Linné décrivit en 1744 était une linaire. A.