Médiocre
- Nom singulier invariant en genre
- Adjectif singulier invariant en genre
Définition
Employé comme adjectif
- qui n'est pas très bon, ordinaire, inférieur à la moyenne
Employé comme nom
- personne inférieure à la moyenne, un raté
"médiocre" dans l'encyclopédie
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THIÉTANNE ou SULFURE DE TRIMÉTHYLÈNE
- Écrit par Dina SURDIN
- 655 mots
Les composés organolithiques provoquent également une coupure, apparemment à la suite d'une attaque initiale anormale, et donnent des composés du type : On prépare le thiétanne avec un rendement médiocre par action du sulfure de sodium sur le bromure de triméthylène.
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FLEMING VICTOR (1883-1949)
- Écrit par Jean TULARD
- 749 mots
- 2 médias
Mais il doit sa célébrité à Autant en emporte le vent (Gone with the Wind, 1939), médiocre transposition du fameux roman de Margaret Mitchell. Fleming mérite aujourd'hui de retenir encore l'attention pour son Virginian (1929), avec Walter Huston et Gary Cooper, qui annonce les grands westerns de la décennie.
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THOMAS AMBROISE (1811-1896)
- Écrit par Philippe BEAUSSANT
- 820 mots
Esprit médiocre, voire mesquin (dans son opposition à Berlioz par exemple), il est le grand maître de l'académisme du milieu du siècle ; habile artisan, il compose une vingtaine d'opéras et d'opéras-comiques (Le Songe d'une nuit d'été, 1850 ; Le Carnaval de Venise, 1857 ; Mignon, 1866 ; Hamlet, 1868), des messes, des cantates, un Requiem. Rien dans l'œuvre de Thomas ou dans son enseignement ne dépasse la médiocrité.
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SAINT-SULPICE ART
- Écrit par Bruno FOUCART
- 3 466 mots
Les vierges et saintes, à l'œil blanc et à l'air pâmé, issues d'Ary Scheffer et de son raphaélisme, les statues de la Vierge de Lourdes, mauvaise traduction du modèle médiocre du pieux sculpteur Cabuchet, les effigies trop sensibles de Thérèse de Lisieux ou de saint Antoine de Padoue, même les œuvres néo-byzantines, pâle reflet de l'expérience menée à Beuron, autant, en somme, de manifestations successives de 1850 à 1920 de l'art dit sulpicien.
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BARBERINO ANDREA DI JACOPO DE MANGABOTTI dit ANDREA DA (1370 env.-apr. 1431)
- Écrit par Claude MINOT
- 1 023 mots
Son succès, établi par une société bourgeoise qui voulait se constituer une littérature agréable et utile, ne s'est pas démenti : malgré l'avis des critiques qui le considèrent comme un auteur médiocre au style monotone (Barberino use de procédés simples mais efficaces), on lit encore aujourd'hui Les Royaux de France ou le Guerrino il Meschino, devenus des classiques de la culture populaire.